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Cambodge & Gastronomie : Les croissants de Khéma, un sourire pour la journée

À la boulangerie artisanale GO, nous sommes fiers de fabriquer un croissant pur beurre qui réunit le soyeux du beurre, le fabuleux feuilletage et la riche saveur des meilleurs croissants.

Les croissants de Khéma, un sourire pour la journée
Les croissants de Khéma, un sourire pour la journée. Photo Liza Summer

Pâte feuilletée beurrée, légèrement croustillante à l’extérieur, fondante et délicatement moelleuse à l’intérieur, avec un aspect soyeux dû à l’abondance de beurre utilisé dans sa préparation, le croissant est peut-être l’une des créations françaises les plus facilement reconnaissables.

Le café croissant est une institution bien française et probablement l’un des premiers plaisirs auxquels s’adonnent tous les visiteurs en France. C’est la première étape de leur voyage, une confirmation que (oui !) ils sont vraiment en France, que la vie est belle et qu’elle est sur le point d’être encore plus belle.

Mais si vous n’êtes pas en France, vous pouvez toujours goûter ce pays, et à seulement quelques dollars pour un café frais servi avec un délicieux croissant tout juste sorti du four pour le tremper dedans, eh bien, il n’existe pas beaucoup de meilleurs débuts de journée que cela.

Étonnamment, pour un aliment aussi emblématique au niveau national, le croissant est en fait une invention relativement récente, et son histoire ne commence même pas en France.

Au contraire, elle remonte au 17e siècle en Autriche et trouve son origine dans le très controversé kipferl. Le kipferl est cependant beaucoup plus « panifiable » que la somptueuse pâtisserie qui est devenue le petit-déjeuner préféré des Français.

C’est un Autrichien nommé August Zang qui a fait du kipferl autrichien un plaisir populaire dans le Paris des années 1830.

Mais même à cette époque, la première référence écrite à ce produit apparaît dans l’ouvrage de Payen intitulé « Des Substances Alimentaires », publié en 1853, tandis que dix ans plus tard, il réapparaît dans le dictionnaire Littré, où il est défini, de manière peu inspirée, comme un « petit pain ou gâteau en forme de croissant ».

C’est un Autrichien nommé August Zang qui a fait du kipferl autrichien un plaisir populaire dans le Paris des années 1830.
C’est un Autrichien nommé August Zang qui a fait du kipferl autrichien un plaisir populaire dans le Paris des années 1830. Photo WikiArt

Une référence ultérieure dans Les Consummations de Paris (1875) inclut les « croissants pour le café » dans une liste de pâtisseries ordinaires, par opposition aux pâtisseries fines.

Ce n’est certainement pas le cas de notre croissant, qui réussit à être à la fois « ordinaire » et exceptionnel. La première recette publiée n’apparaît qu’en 1905, juste avant que les chefs français ne retroussent leurs manches et s’approprient cette viennoiserie en la combinant avec de la pâte feuilletée.

« Le croissant était né, remercions les dieux. »

À la boulangerie artisanale GO, nous sommes fiers de fabriquer un croissant pur beurre qui réunit toute la richesse, le soyeux du beurre, le fabuleux feuilletage (les croissants ne sont probablement pas conseillés à ceux qui sont obsessionnellement ordonnés) et la riche saveur offerte par les meilleurs croissants.

Trempez-le dans votre café (à la française), nappez-le de beurre et de confiture (à l’anglaise), ou savourez-le tout simplement : un délice simple et sans fioritures. Mais tout d’abord, retournez votre croissant sur le côté et mettez instantanément un sourire sur le début de votre journée. Et ensuite, vous pourrez le goûter.

Nicky Sullivan — Thalias

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