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Venise : Un film de science-fiction cambodgien ouvrira la 36e Semaine internationale de la critique

« Karmalink » de Jake Watchel compte parmi les neuf films internationaux qui seront présentés en première mondiale en Italie lors de la semaine de la critique début septembre.

« Karmalink » de Jake Watchel
« Karmalink » de Jake Watchel. Photographie fournie

Cet événement se déroulera du 1er au 11 septembre, aux mêmes dates que le Festival international du film de Venise.

Une histoire de liens, d’amitié, de rêves

D’après le synopsis, Karmalink se veut une œuvre sur la mémoire, la conscience collective et l’avidité de la pensée occidentale. Une histoire de liens, d’amitié, de rêves (et de karma) qui va au-delà de l’hommage au cinéma américain des années 80 et 90, pour embrasser une imagerie à cheval sur deux visions, deux approches opposées de la vie. Un film de « science-fiction bouddhiste » spectaculaire qui met en garde contre les risques d’une société hyper-technologique, consumériste et de plus en plus connectée.

Un film de « science-fiction bouddhiste »
Un film de « science-fiction bouddhiste ». Photographie fournie

À propos du réalisateur

Jake Wachtel (1987) a grandi à Palo Alto, en Californie et a passé une grande partie de sa vie à parcourir le monde. Après avoir obtenu son diplôme de psychologie et d’études cinématographiques à l’université de Stanford, il a commencé une carrière en réalisant des documentaires pour des organisations à but non lucratif et des entreprises à impact social travaillant dans le sud — son travail a été présenté sur NYTimes.com, Wired, NPR et MSNBC.

Jake Wachtel. Photographie Jake Starr
Jake Wachtel. Photographie Jake Starr

En 2015, désireux de connaître une seule communauté plus en profondeur, il s’est installé au Cambodge pour dispenser une une année de formation sur la réalisation de films à des enfants vivant dans des quartiers défavorisés.

Son court-métrage « The Foreigner Here », tourné à Phnom Penh, a été présenté en avant-première au Festival international du film cambodgien aux côtés des œuvres d’une nouvelle vague de jeunes réalisateurs cambodgiens.

Phnom Penh est devenu son port d’attache pendant plusieurs années, il en a profité pour développer « Karmalink » — le premier film de science-fiction du Cambodge — qui se déroule dans la communauté où il a enseigné, avec ses anciens élèves.

« Karmalink » est produit par Valérie Steinberg Productions, basée à Los Angeles. L’un des coproducteurs est le réalisateur-producteur cambodgien Sok Visal de « 802 Films ».

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