Avec l’association Pour un Sourire d’Enfant, Cambodge Mag vous livre quelques textes et photographies proposés à l’occasion de l’exposition célébrant les 25 ans d’existence de l’ONG.
« J'appartiens à la première génération d'étudiants de PSE, qui a rejoint le programme en 1995, et j'ai obtenu mon diplôme en 2000. Avant PSE, ma vie était vraiment difficile. Comme nous manquions de nourriture, mes frères et sœurs devions ramasser les ordures à la décharge parce que nous pensions que ce serait une source de revenu supplémentaire pour la famille. Avec ce travail, je pouvais gagner environ 4.000 riels par jour, parfois plus...».
« Papy et Mamie (les fondateurs de PSE) sont comme mes seconds parents et je les considère comme ma famille. Je me souviendrai toujours de la première fois où j'ai vu Papy sur le site de la décharge. Chaque matin, l'association fournissait du riz, entre autres choses, aux enfants. Sans PSE, je ne serais pas là aujourd'hui. Il m'est difficile de repenser à cette époque, étant donné où je suis maintenant. Je suis passé d'un enfant pauvre et sans rien à quelqu'un qui a un travail décent et qualifié à l'ambassade de France au Cambodge ».
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