top of page

Résultats de recherche

8146 éléments trouvés pour «  »

  • Tourisme : 3 455 716 touristes internationaux pour les 7 premiers mois de 2018

    Le Ministre du tourisme, S.E. Dr Thong Khon a déclaré samedi que le Cambodge avait accueilli 3 455 716 touristes internationaux durant les sept premiers mois de 2018. Cela représente une augmentation de plus de 11% par rapport à la même période en 2017. Le rapport présenté lors de cette réunion de travail du ministère indique que le Cambodge a généré des recettes de 3,6 milliards de dollars US provenant des touristes internationaux, soit une augmentation de 13,3%. Le Ministre du tourisme, S.E. Dr Thong Khon a déclaré samedi que le Cambodge avait accueilli 3 455 716 touristes internationaux durant les sept premiers mois de 2018. Le secteur du tourisme représente 12,3% du PIB du Cambodge et 30% du secteur des services au Cambodge. En outre, le secteur du tourisme a généré plus de 600 000 emplois directs et des dizaines de milliers d’emplois indirects. Le ministère du tourisme prévoit de recevoir environ 6,2 millions de touristes internationaux en 2018; 7 millions en 2020; 10 millions de touristes internationaux en 2025; et 14 millions de touristes internationaux en 2030. Les destinations les plus populaires parmi les visiteurs étrangers sont la capitale Phnom Penh, la province culturelle de Siem Reap, les zones côtières, les zones d’écotourisme du nord-est qui ont respectivement attiré près de 2 millions de touristes (13% de plus), plus de 1,54 million (une augmentation de 9%), 589.413 (une croissance de 34,5%) et 47.941 (en hausse de 10,6%). Durant la même période, le nombre de touristes cambodgiens voyageant à l’étranger a connu une augmentation de 10,6% à plus de 1,1 million. Les prochaines grandes manifestations pour la saison 2018 sont : la Journée mondiale du tourisme qui se tiendra le 27 septembre; Cambodia Travel Mart (CTM) du 11 au 13 octobre à Phnom Penh; le Festival de l’eau les 21-23 novembre; Le Semi-marathon le 2 décembre à Siem Reap; le festival de la mer du 14 au 18 décembre dans la province de Koh Kong et le vingtième anniversaire de la politique gagnant-gagnant du 29 décembre au palais Win-Win à Phnom Penh.

  • Tendances : Eurasia Concept ouvre à Phnom Penh

    Le distributeur de mobilier de luxe Eurasia Concept a ouvert son showroom au troisième étage d’Exchange Square à Phnom Penh vendredi dernier. Eurasia Concept ouvre à Phnom Penh Eurasia concept est une marque bien implantée au Vietnam. Elle représente plus de 40 marques européennes de meubles et accessoires de luxe. La société est très rapidement devenue leader sur le marché du mobilier de luxe avec dans son catalogue la plus prestigieuse collection de meubles italiens. Eurasia concept représente plus de 40 marques européennes de meubles et accessoires de luxe Au Vietnam, Eurasia Concept dispose de 20 showrooms luxueusement décorés avec l’une des plus belles boutiques de Saigon Times Square. Présent à Phnom Penh lors de l’ouverture, Vincent Ho, responsable du développement commercial, a déclaré: “..Nous sommes absolument ravis de nous implanter dans le Royaume…notre entreprise propose une collection et un service à même de répondre aux besoins de l’élite cambodgienne…” Vincent Ho La société vise en effet la clientèle haut de gamme, voire très haut de gamme. Les prix vont de 2500 dollars US pour un fauteuil jusqu’à 70 000 dollars pour un bureau de style. Present lors du salon Eurofair, la société aurait déjà reçu plusieurs jolies commandes. Eurasia Concept propose une collection de meubles issus des célèbres marques B & B Italia, Bentley Home, Cappellini, Cassina, Casa Fendi, Giorgetti, Heritage, Maxalto, Medea, Moroso, Poltrona Frau. Promemoria, Trussardi Casa, Perspective, Baldi, Culti, Frette Venini, Villari, ALF Italie, Gamma, San Marco, Griffe, Nemo, Nu, Penta, Slamp… Pour consulter plus de photographies, cliquer ici..

  • People – Loisirs : Vito Acte II

    Ce weekend, clubbers, noctambules et aficionados du style Vito ont pu assister à l’ouverture officielle du nouveau Club ouvert par Manolis et Dragan. Vito Acte II, Manolis et Dragan, propriétaires du Vito Situé à présent rue 208, le club, plus spacieux et disposant de plus d’espace, est resté fidèle à son ambiance musicale retro (70-80-90) et accueille toujours un mix d’expatriés, de Cambodgiens, de Français et de Franco-Khmers dans sa clientèle. Vito Acte II Ouverture oblige, de nombreux artistes étaient présents, de la mode, de la peinture et de la photographie avec l’incontournable Jérémie qui aura photographié tous les meilleurs instants du club depuis sa première ouverture en 2014. Vito Acte II L’accueil y est toujours sympathique et amical, avec le charme tout sourire de Manolis et le charme, plus slave mais non moins redoutable, de son compagnon dans la vie et dans le club, Dragan Vito. Vito Acte II Ces photographies vous sont proposées par Jérémie Montessuis – Photographe : Pour consulter la totalité des albums, cliquer ici, et ici…

  • Construction : Phnom Penh accueille CAMBUILD 2018

    L’exposition internationale sur la construction au Cambodge, CAMBUILD 2018, a eu lieu du 12 au 14 septembre au Centre de conférence et d’exposition Koh Pich, à Phnom Penh. Phnom Penh accueille CAMBUILD 2018 La cérémonie d’ouverture de l’exposition a été présidée par Phoeung Sophorn, secrétaire d’Etat à l’Aménagement territorial, à l’Urbanisation et à la Construction et secrétaire général du Conseil des architectes du Cambodge. Quelque 350 entreprises de 23 pays et régions, dont la Chine, l’Italie, le Japon, la Corée du Sud, l’Allemagne, la Malaisie, Taïwan, la Thaïlande, Singapour, et le Vietnam ont participé à cet événement annuel. Andrew Siow, directeur général de AMB Tarsus Events Group, chargé de l’organisation de l’événement, a dit que CAMBUILD 2018 constituait une bonne opportunité pour les architectes, les designers et autres pour partager les dernières innovations du secteur. De son côté, Phoeung Sophorn a considéré CAMBUILD 2018 comme un forum essentiel pour le partage des connaissances et des expériences entre les participants. Par C. Nika – AKP Phnom Penh, septembre 2018 —

  • Pressions européennes sur le textile cambodgien

    Dans une résolution adoptée jeudi dernier, le Parlement Européen à Strasbourg exhorte le gouvernement du Cambodge à abandonner les charges qui pèsent contre Kem Sokha et contre les anciens membres du CNRP qui se sont vus refuser l’accès à la vie politique suite à la dissolution du parti en novembre dernier. Dans la balance de ces sommations : la remise en cause de l’accord «Tout sauf les armes» avec pour principale victime le secteur du textile… Longue série d’arguments ”… le Parlement Européen réclame la levée de toutes les charges qui pèsent sur lui (Kem Sokha) et sa liberté d’action immédiate et totale; réclame également la levée, sans délai, des autres charges politiquement motivées qui accablent les autres membres de partis d’opposition, dont M. Sam Rainsy, et la révocation immédiate des jugements prononcés à leur encontre…”, indique précisément le texte de la résolution. Le bâtiment Louise-Weiss, siège du Parlement européen Dans son texte, le Parlement liste également une longue série d’arguments à l’encontre d’un ensemble de mesures du gouvernement. Cela concerne les militants syndicaux, les défenseurs des droits de l’homme et les membres d’organisations de la société civile qui, selon le Parlement Européen ”…voient leur marge d’action se rétrécir de plus en plus et font l’objet de harcèlement, de mesures d’intimidation et d’arrestations arbitraires…”. Le texte fait également référence aux médias indépendants qui ”… sont victimes de mesures répressives…”. Les récentes élections sont également mises en cause, elles sont qualifiées de ”…sans concurrence et ne répondant pas aux normes internationales minimales caractérisant des élections démocratiques…”. Dans la balance L’ensemble de ces exigences est en fait une compilation de réactions du Parlement déjà publiées à travers plusieurs communiqués au fur et à mesure des mesures prises par le gouvernement cambodgien et des événements. Sanctions Toutefois, Cette résolution avance, sans vraiment trop de surprise, la possibilité de mettre dans la balance le système de préférence dont bénéficie le royaume. L’autre sanction évoquée est la possibilité de ”…dresser la liste des personnes responsables de la dissolution de l’opposition cambodgienne et des autres violations graves des droits de l’homme en vue de leur imposer, au besoin, des restrictions de visa et le gel de leurs avoirs…”. Une attitude similaire à la diplomatie américaine qui a également fait valoir ce type de sanction. En clair le Parlement Européen somme le gouvernement cambodgien de répondre à ses appels sous peine de voir ses dirigeants frappés de quelques mesures vexatoires (gel des avoirs – visa) et de suspendre l’accès du royaume au régime préférentiel de l’initiative «Tout sauf les armes». Les conditions avancées par le Parlement Européen sont le non-respect des règles qui régissent le droit d’accès au Système généralisé de préférences. ”…Le Parlement rappelle au gouvernement cambodgien qu’il doit respecter ses obligations et ses engagements concernant les principes démocratiques et les droits fondamentaux, qui constituent un volet essentiel de l’accord de coopération conclu avec l’Union européenne ainsi que de l’initiative «Tout sauf les armes…”, rappelle la résolution de jeudi dernier. Tout sauf les armes Si les mesures vexatoires sont probablement en mesure de provoquer quelques remous diplomatiques, il est peu probable que cela affecte directement l’équilibre économique du royaume. Sauf à ce qu’il y ait une réaction drastique de la part des dirigeants cambodgiens. Cela est différent avec la menace concernant l’initiative «Tout sauf les armes». Rappelons que le Système généralisé de préférences (SPG) est un programme de préférences commerciales pour les biens provenant des pays en développement, mis en place par plusieurs pays développés. Le système généralisé de préférences de l’Union européenne est appliqué sur trois niveaux. Le «Tout sauf les armes», est de niveau III, soit un accès libre de droits de douanes pour l’ensemble des produits exportés. Ce niveau concerne 19 pays dont le Cambodge. Commerce avec l’UE Ce système a permis au Cambodge de développer son industrie textile, l’un des piliers de son économie. Au premier semestre 2018, le Cambodge a exporté pour une valeur de 6,23 milliards de dollars US de produits dans le cadre du Système généralisé de préférences. Cela représente une augmentation de 15%, par rapport à la même période l’année précédente. (Source Secrétariat d’Etat au Commerce). L’UE reste le plus grand débouché pour l’industrie du vêtement et de la chaussure au Cambodge, représentant environ 40% de toutes les exportations D’après le ministère du Commerce, l’exportation du Cambodge sur l’année 2017 au titre du SGP était de 11,15 milliards de dollars, soit 18% de plus qu’en 2016. L’Union européenne, avec les Etats-Unis, le Canada, le Japon, la Chine est donc parmi les cinq partenaires commerciaux privilégiés du royaume. Les échanges commerciaux entre le Cambodge et l’Union ont atteint cinq milliards d’euros (6,2 milliards de dollars environ) en 2017. L’UE reste encore le plus grand débouché pour l’industrie du vêtement et de la chaussure au Cambodge, représentant environ 40% de toutes les exportations. Mission pour étayer le sérieux de la possibilité de mettre en oeuvre cette sanction lourde de conséquences, des fonctionnaires de la Commission européenne et du service extérieur ont effectué une mission d’enquête au Cambodge en juillet dernier. Elle avait officiellement pour mission d’évaluer la pertinence de l’accès du pays au système d’échange préférentiel de l’Union. Bémol Pourtant, quelques mois auparavant, en mars, l’Union européenne et le Cambodge avaient réaffirmé leur engagement à renforcer les liens économiques et à soutenir l’intégration du pays dans les chaînes d’approvisionnement régionales. L’engagement avait été pris lors de la 10ème réunion du Comité mixte entre le Cambodge et l’UE, à Bruxelles. Toutefois, l’UE avait mis un bémol dans ses déclarations, qui n’étaient pas argumentées sur les mêmes bases que cette dernière résolution. Cecilia Malmström, commissaire européenne chargée du commerce A la fin de la mission européenne, Cecilia Malmström, commissaire européenne chargée du commerce, avait déclaré que le retrait du Cambodge du système d’échange préférentiel ne serait qu’un ”…dernier recours…”, avançant que le Cambodge avait tout de même réalisé un développement réel en termes d’économie et de droits sociaux : “…Personne ne peut nier les réalisations et les progrès réalisés dans le Royaume, en particulier au sujet du développement et de la croissance économique. En outre, la démocratie progresse, même si elle n’est pas aussi rapide que l’UE le souhaite….”, avait-elle déclaré en fin de mission. Réactions – Effets Nul besoin d’être prophète pour se douter que la suppression du régime préférentiel ferait des remous et aurait des effets particulièrement néfastes sur l’économie du pays. Hommes d’affaires, syndicalistes et politiques cambodgiens ont fermement protesté contre cette éventualité lors de la mission européenne en juillet. Même l’ambassadeur de Chine à Phnom Penh avait déclaré que l’Union européenne ne devrait pas mélanger la politique avec le commerce en envisageant de retirer cet accès privilégié vital pour l’économie du Cambodge. ”…Peu importe ce que l’UE fera, les Chinois s’engagent fermement dans l’élargissement et l’approfondissement de la coopération avec le Cambodge dans tous les domaines, notamment en matière de commerce et de relations économiques…”, avait affirmé Xiong Bo lors d’une conférence sur les nouvelles routes de la soie. Perte de compétitivité Selon le ministère de l’Industrie et de l’Artisanat, le secteur du textile et de la chaussure emploie plus de 700 000 travailleurs au sein de 1 200 entreprises. Alors que se négocie actuellement le salaire minimum pour ce secteur, et qu’il est prévu de l’augmenter régulièrement, il est peu probable que les produits cambodgiens puissent supporter une politique sociale qui a forcément un coût, et supporter simultanément le rétablissement des droits de douane (12% environ vers les pays d’Europe). Usine textile au Cambodge. Photographie UN (CC) Cela entraînerait une perte de compétitivité, probablement au bénéfice des pays producteurs voisins. Et, dans ce cas, ce ne sont pas les directeurs d’usine qui en pâtissent, ils peuvent se relocaliser comme le veut la tendance dans ce secteur. Et au final, ce sont les petites mains du textiles qui en souffrent. Gouvernement du Cambodge La réaction du gouvernement ne s’est pas faite attendre. Dès vendredi, un communiqué plutôt vif a été publié, mentionnant que : ”…Sans surprise, la résolution du Parlement européen repose en partie sur les affirmations fausses et malhonnêtes des populistes cambodgiens protégés par l’UE…et en partie sur des rapports partiels et biaisés provenant exclusivement d’opposants politiques et d’ONG orientées…”. “…En ce qui concerne les conditions à respecter dans le cadre de l’EBA, cette résolution ignore sciemment et avec insouciance les efforts considérables déployés par le gouvernement cambodgien…Comment pourrions-nous éventuellement donner crédit à une telle résolution ?…”, indique le communiqué qui dresse également une longue liste des résultats économiques et sociaux du gouvernement qui ont permis au Cambodge de relever la tête. Chine L’autre éventualité souvent avancée par le Premier ministre, agacé par les pressions occidentales, reste la possibilité de se tourner vers la Chine en cas de rupture avec l’Union Européenne. Toutefois rien de précis n’a été avancé et la Chine pourrait-elle absorber 40% des exportations du royaume ? Si oui, sous quelles conditions ? A mentionner également qu’entre le dépôt des conclusions de la mission de la Commission Européenne, l’examen par celui-ci, la soumission au parlement, le vote des pays membres et l’application du texte, il risque de se passer encore de longs mois…Et, le résultat étant au final entre les mains des pays membres, rien ne laisse supposer qu’il y aurait un consensus sur cette sanction. A la fin de sa résolution, le Parlement Européen indique se féliciter de la mission d’information menée au Cambodge et invite celle-ci à communiquer ses conclusions au Parlement sans tarder et à évaluer les conséquences possibles pour ce qui est des préférences commerciales dont bénéficie le Cambodge, notamment d’envisager une enquête au titre des mécanismes prévus dans le cadre du régime «Tout sauf les armes»… Clair que l’Union Européenne va certainement alimenter le suspense politique et économique de ces prochains mois.

  • Drame – Siem Reap : Effondrement d’un immeuble sur Pub Street, 1 mort et 4 blessés

    Il était une heure du matin, ce dimanche, lorsque qu’un bâtiment situé sur Pub Street s’est effondré, piégeant les cinq ouvriers qui se trouvaient à l’intérieur. Effondrement d’un immeuble sur Pub Street, 1 mort et 4 blessés Malgré l’intervention rapide des secours, l’une des victimes, un jeune homme de 16 ans, n’a pu être désincarcérée à temps des décombres et est décédée suite à ses blessures. Les quatre autres travailleurs, âgés de 18 à 30 ans et tous originaires du même village, ont été pris en charge pour des blessures n’engageant pas leur pronostic vital. L’ancien immeuble colonial de deux étages, bien connu des touristes et des Siem Reapois pour avoir abrité le restaurant vietnamien « The Soup Dragon », faisait l’objet depuis quelques mois d’importants travaux de rénovation. Aucune source n’indique pour le moment les raisons de cet effondrement. Par Rémi Abad Source : http://www.arey-news.com/archives/260314

  • World Cleanup Day : Le Royaume répond présent

    Le Cambodge a suivi le mouvement en participant activement à la Journée Mondiale du Nettoyage – World Cleanup Day qui a eu lieu samedi matin dans les capitales provinciales. Journée Mondiale du Nettoyage – World Cleanup Day à Phnom Penh Le ministère de l’Éducation, en collaboration avec le ministère de l’Environnement, le ministère du Tourisme, le ministère de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports et le ministère de la Culture avaient mobilisé leur fonctionnaires et largement diffusé à participation à l’adresse du public et des commercants. Journée Mondiale du Nettoyage – World Cleanup Day à Siem Reap Plusieurs ONG participaient également à cette initiative. En tout, ce furent plus de 1 000 institutions gouvernementales et privées, ambassades, organisations de jeunesse et associations qui auront participé à cette journée. À sihanoukville Promotion de la responsabilité environnementale Ce samedi 15 septembre 2018, devant le ministère de l’environnement, Son Excellence Eang Sophalleth, secrétaire d’Etat au Ministère de l’environnement a déclaré : ”… La sensibilisation et la promotion de la responsabilité environnementale doivent être les préoccupations de tous, des autorités, des associations et du secteur privé…Je souhaite également qu’il y ait une plus grande implication dans la protection de l’environnement à tous les niveaux…”, a-t-il déclaré, ajoutant que : ”…Nous sommes tous responsables, y compris au niveau individuel…Ces ont nous qui jetons nos propres déchets chaque jour…nous devons nous impliquer pour mieux les gérer, respecter l’environnement et réduire notre consommation de plastique…”. À Kep World Cleanup Day – Environnement Le porte-parole du ministère de l’Environnement, Neth Pheaktra, a précisé de son coté : ”…citadins et villageois devraient nettoyer leurs maisons et les zones avoisinantes, y compris les routes et autres sites publics afin d’améliorer la beauté et la qualité de vie de leurs communautés. À Battambang Enseignement Le ministre de l’Education, Hang Chuon Naron, a appelé toutes les écoles et universités à amener les étudiants à nettoyer leur campus ou les espaces publics à proximité. Il a ajouté que les déchets étaient un problème répandu dans le pays qui entravait le développement économique et social. Dans le Banteay Meanchey Phnom Penh Concernant la capitale, le Président de la Fédération du Tourisme du Cambodge, Luu Meng, a déclaré dans une interview à Cambodge Mag : ”…Phnom Penh devrait être beaucoup plus propre…Une ville propre n’est pas seulement la responsabilité du gouvernement, c’est aussi celle des privés qui doivent travailler ensemble pour rendre la destination attractive. Les ministères du tourisme et de l’environnement insistent beaucoup sur cet aspect et nous devons montrer l’exemple, et convaincre aussi nos voisins…”. Les employés du groupe Almond à l’oeuvre Il a ajouté : ”…Au sein des établissements du groupe Almond, nous participons régulièrement à des opérations de nettoyage et de ramassage des déchets sur les trottoirs de Phnom Penh. Le groupe Thalias, Aeon Mall, le Sofitel et de nombreux membres de la Fédération font également la même chose. Certains comme JAVA House nettoient même les berges du fleuve et le fleuve lui-même. Ce sont de bons exemples de la participation du secteur privé pour une ville propre. Je souhaiterais aussi que plus de grandes marques participent à ce genre d’opération…”. A Kampot Cette Journée Mondiale du Nettoyage a bien vu une mobilisation supérieure aux années précédentes, en particulier dans les grands centres touristiques. A Phnom Penh, Grace Smith de Go Green Cambodia déclarait : ”…Cette journée fut un vrai succès, je n’ai jamais vu la capitale aussi propre…”. Dans le Ratanakiri Eléphants On a pu noter également une belle participation des provinces, même les plus éloignées. Petit clin d’oeil, dans le Ratanakiri, la Fondation Airavata avait mobilisé ses éléphants pour participer au nettoyage. Avec la Fondation Airavata Après les collectes individuelles, les déchets ont ensuite été rassemblés dans des sacs de plastique avant d’être transportés vers les décharges publiques. A savoir si cette journée fut un succès ? Au niveau de la mobilisation, oui. En ce qui concerne la prise de conscience, probablement. Quant aux retombées de cette mobilisation et de la prise de conscience, seul l’avenir le dira. En effet, le traitement des ordures ménagères est devenu problématique dans les grands centres. Dans la province de Kandal En effet, par exemple, à Phnom Penh, les ordures ménagères et les ordures ménagères représentent 2 700 tonnes de déchets par jour. Les déchets en plastique représentent 18% du total des déchets collectés dans les 12 districts de la capitale. Texte – Christophe Gargiulo Photographies : AKP – MOE – Almond – Airavata

  • Concours Jeunes Talents Escoffier : Belle performance pour la Cambodgienne Lat Sereypov

    Les 4, 5 et 6 septembre, pour la première fois, une délégation cambodgienne s’est rendue à Hong Kong pour la finale asiatique du concours Jeunes Talents Escoffier. Belle performance pour la Cambodgienne Lat Sereypov La délégation cambodgienne était aussi composée de son président Richard Gillet, son vice-président le chef Luu Meng, Marcus Kalberer, de l’Académie des arts culinaires de Phnom Penh, Pierre Favitski du Deli Bistro Gourmet, Benoît Leloup, du Sofitel et Takeshi Kamo, chef de La Résidence. Délégation cambodgienne Beaucoup d’entraînement Au terme de plus d’un mois et demi de préparation, coachée par les chefs de la délégation cambodgienne, Sereypov devait préparer un unique plat pour huit personnes, dans un délai de trois heures seulement, assistée d’un commis de cuisine. Le plat à préparer était un saumon entier accompagné d’une sauce Genevoise, dont la recette était fournie en amont du concours, et trois garnitures au choix. Pendant les semaines qui ont précédé le concours, elle s’entraînait jusqu’à trois heures par jour. “C’est la sauce qui a été le plus compliqué à travailler, car je ne connaissais pas du tout la sauce Genevoise !”, avoue-t-elle. Préparation Sereypov s’est aussi énormément préparée avec Benoît Leloup et Takeshi Kamo sur la technique, et avec Richard Gillet sur l’aspect esthétique de la présentation, qui constituaient un comité de concours pour la conception du plat. “Ça m’a appris beaucoup, à moi aussi”, raconte Benoît Leloup. “Élaborer des recettes pour un concours Escoffier demande beaucoup de temps. Nous avons dû faire énormément de recherches, goûter beaucoup de plats, faire et refaire des recettes”. “Nous l’avons briefée, les jours précédant le concours, en anticipant les potentiels problèmes et trouvant des solutions avec elle”, explique Richard Gillet. “Mais beaucoup de paramètres nous étaient encore inconnus avant le concours, elle a donc dû prendre beaucoup de décisions de dernière minute”, racontent-ils. Lat Sereypov en train de travailler sa présentation C’était la première fois que Lat Sereypov voyageait en dehors du Cambodge. Un challenge, pour elle, qui confie : “J’avais assez peur. Mais je me suis dit que si je ne surmontais pas cette peur, je ne ferais jamais rien…”. “Une fois là-bas, j’ai rencontré tous les candidats, très avenants et sympathiques. Ça m’a énormément rassurée. J’ai donc pu me concentrer sur le concours et faire de mon mieux !”. Des délégations très préparées “Le seul problème que j’ai rencontré, c’est par rapport au matériel… C’était différent de ce que j’utilise d’habitude et donc difficile à manipuler”, relate Sereypov. Les autres compétiteurs étaient venus avec leur propre matériel et des produits déjà pré-travaillés. Mais le Cambodge ne participant que pour la première fois, la délégation était beaucoup moins préparée. Les autres équipes étaient aussi assistées de plusieurs commis, alors que Sereypov Lat n’en avait qu’un. “J’ai appris beaucoup de choses. J’ai rencontré beaucoup de monde de pays différents, qui ont présenté des choses que je n’avais jamais vues auparavant. Cela m’a appris à trouver des solutions pour faire quelque chose d’inventif à partir d’un rien…”. La technicité en cuisine, l’organisation, la fluidité des gestes et la propreté étaient d’abord évalués, durant les trois heures de compétition. Puis le plateau composé par Lat Sereypov a été présenté devant un jury de chefs étoilés et membres Escoffier. Il était jugé sur sa présentation et sur dégustation. Le plateau réalisé par Lat Sereypov Une très belle performance “Sereypov a été l’un des candidats les plus organisés et disciplinés”, conclut Richard Gillet, qui évaluait par ailleurs la partie technicité en cuisine. “Elle a fait une très belle performance”. “Avec du travail, de la discipline et de la détermination, on peut faire beaucoup”, sourit-il. Même si elle n’a pas fini sur le podium face à des délégations rodées aux concours telles que la délégation singapourienne, qui a décroché la première place, Sereypov a impressionné par son niveau et la propreté de sa présentation… Notamment pour une première participation du Cambodge. En tant que Jeune Talent Escoffier, elle aurait maintenant l’opportunité de travailler avec des chefs étoilés, à travers le monde. “Mais je vais d’abord y réfléchir. Pour l’instant, je ne sais pas ce qui est le mieux pour moi”. Et pourquoi pas participer à d’autres concours, puisque l’année prochaine, Sereypov atteindra les 26 ans et ne pourra donc pas concourir à nouveau aux Jeunes Talents Escoffier. Pour suivre les actualités de la délégation cambodgienne des Disciples d’Escoffier : https://www.facebook.com/DEICambodia/ Adèle Tanguy

  • Gastronomie : Bistrot Langka, une perle cachée

    La scène gastronomique phnompenhoise réserve parfois de belles surprises… Lorsque l’on n’est pas du cru, on a recours, en désespoir de cause, à des réseaux sociaux dont certains (Tripadvisor notamment) sont d’une fiabilité douteuse. Il est en effet de notoriété publique que des restaurateurs peu scrupuleux n’hésitent pas à avoir recours aux « usines à clics » et autres spécialistes de la publicité mensongère pour faire monter artificiellement leur cote. Dès lors, les plus prudents regardent d’un œil suspicieux les centaines d’avis dithyrambiques donnés sur certains établissements. Exemple : le Bistrot Langka, restaurant français de BKK1. A l’heure où nous écrivons ces lignes, ce ne sont pas moins de 783 commentaires qui sont annoncés sur la page de l’établissement, dont 83 % accordent une note optimale. Le réflexe pavlovien qui nous anime nous invite à la plus grande méfiance. Il faut cependant, avant de se faire un avis, aller déguster de ses propres papilles pour voir ce qu’il en est réellement. Géolocalisation Premier écueil : la géolocalisation de notre « smartphone » a bien du mal à nous indiquer un itinéraire : sur le plan, le point qui marque l’emplacement du Bistrot Langka s’affiche au centre d’un pâté de maisons. En étudiant ledit plan de très près, on voit que le restaurant est en réalité blotti dans une minuscule allée débouchant sur la rue Pasteur (51), entre le boulevard Preah Sihanouk et la rue 294. Bistrot Langka Nous arrivons… Alors que les établissements adjacents sont vides ou presque, la salle du Bistrot est comble. En ce mardi soir, jour habituellement calmissime dans les restaurants de Phnom Penh, et alors que nous arrivons après 20 heures, c’est avec difficulté que l’on nous trouve une table à la salle de l’étage. Mais il est vrai que le restaurant ne peut guère accueillir plus d’une trentaine de convives. Coup d’œil sur la carte, peu diserte : les mets semblent assez basiques : œuf parfait, carpaccio de poisson, risotto, filet de bar, côte de porc, tartare de bœuf, faux-filet … Nous optons pour l’œuf parfait, le risotto, le faux-filet et le tartare. En attendant notre commande (on nous fait patienter avec un bol chips maison accompagnées d’un ramequin de sauce trempette à la tomate, délicieux), nous regardons autour de nous et constatons que la clientèle est plutôt cosmopolite. La table où nous avons été placés nous donne une vue plongeante sur la cuisine vitrée. Nous voyons défiler à un rythme soutenu les plats dressés par les maîtres-queux, et nous nous réjouissons par anticipation… La cuisine, d’une propreté irréprochable, fait penser à une fourmilière où les ouvrières laborieuses s’affairent en un ballet bien réglé. Vue sur la cuisine L’oeuf parfait Arrive l’« œuf parfait 65°C, crème de chorizo, mouillettes ». Le dressage est joli. Les mouillettes grillées ont un très agréable croquant. Le jaune d’œuf a une de texture épaisse. La crème de chorizo est richissime … Rarement on aura dégusté une sauce aussi onctueuse, superbement assaisonnée. On regrette aussitôt d’avoir décidé de partager cette entrée. Œuf parfait Risotto Le « risotto champignons, asperges, parmesan » arrive ensuite. On comprend en goûtant à la cuisson du riz, parfaite, que le métier de cuisinier ne s’invente pas… Le plat est riche en parmesan, un peu plus pauvre, c’est dommage, en asperges. Pendant que nous attendons la suite, la serveuse vient déposer sur la table d’à côté une majestueuse assiette, tapissée avec élégance de tranches de porc dont l’aspect laisse présager une cuisson au millimètre. Si nous n’étions pas retenus par les règles les plus élémentaires du savoir-vivre, nous demanderions volontiers à nos voisins de table de nous céder une tranchinette de cette viande. Arrivent enfin notre « tartare de bœuf du chef, frites et salade » et le « faux-filet de bœuf (Nouvelle-Zélande), gratin dauphinois ». Tartare et faux-filet Le tartare, assaisonné avec une science accomplie, est servi sur une galette qui évoque les toasts sur lesquels les Helvètes ont coutume de déposer leur tartare. La vinaigrette qui accompagne la salade est goûteuse. Seules les frites, que l’on trouve un peu mollassonnes, viennent ternir l’ensemble. Le faux-filet kiwi a une belle tendreté. Le gratin dauphinois est crémeux à souhait, et le gril a conféré à sa croûte une belle couleur dorée. C’est de la belle ouvrage ! Faux-filet et gratin dauphinois Les portions ayant été copieuses, nous hésitons à finir par un dessert. Mais, fort heureusement, la gourmandise l’emporte. Notre choix se porte sur le « fondant au chocolat, cœur caramel, glace vanille ». A la découpe, le chocolat fondu s’écoule en un flux onctueux… En voyant arriver sur la table voisine le « crumble aux pommes » (les dîneurs de cette table sont manifestement des experts), nous avons presque des remords. Ajoutons à cela que le service est presque parfait (l’attente est un peu longuette) et que la note (moins de 25 dollars par personne, vin et cafés compris) est des plus raisonnables. C’est pourquoi, au moment d’attribuer une note, nous avons bien du mal à déduire quelques dixièmes de points de la note maximale… Texte et photographies : Pascal Médeville Notes (sur 5) : Atmosphère : 4,5 Service : 4,7 Qualité des produits : 4,8 Présentation des plats : 4,6 Rapport qualité/prix : 4,9 Note globale : 4,7

  • Eurocham : Déjeuner-débat sur la nouvelle réglementation du modèle mandants mandataires.

    Ce jeudi 14 a eu lieu un déjeuner-débat très technique sur le thème de la nouvelle réglementation du modèle mandants-mandataires. L’événement était organisé par Eurocham et se deroulait au Topaz. Déjeuner-débat organisé par Eurocham au Topaz Les intervenants étaient Borapyn Py et Khem Vansok. Borapyn Py Borapyn Py Il est directeur associé de la fiscalité pour le Cambodian Tax Practice Group. Il a plus de dix ans d’expérience en tant que conseiller fiscal au Cambodge et en Thaïlande. Il est spécialisé dans les impôts sur les sociétés, les taxes sur les expatriés, les vérifications fiscales et les différends. Kem Vansok Kem Vansok Elle est consultante senior rattachée au Corporate and Commercial Practice Group d’Eurocham à Phnom Penh. Elle a plus de cinq ans d’expérience professionnelle dans le domaine du droit du travail et du règlement des conflits du travail, du droit des sociétés, du droit des contrats et du droit commercial. Ses domaines de pratique couvrent également les transactions commerciales, notamment la finance internationale et les fusions et acquisitions. Elle a de l’expérience dans le conseil auprès de nombreux acteurs clés de l’industrie de l’hôtellerie et du tourisme. Après une introduction de Clint O’Connell, président du Comité fiscal d’Eurocham, les experts ont exposé les avantages et inconvénients du modèle de distributeur d’une part, et du modèle mandant-mandataire d’autre part. Mises à jour du Prakas 597 Les deux expert ont présenté les dernières mises à jour du Prakas 597, intitulé « La reconnaissance et l’obligation fiscale relatives à la fourniture de biens et de services par un mandataire pour le compte d’un mandant», importantes pour ceux qui opèrent sous un modèle mandant-mandataire au Cambodge. Ces mises à jour ont conduit de nombreux contribuables à revoir leur pratique – opérant sous un accord de distribution ou en tant que mandataire. Exigences L’une des principales exigences du Prakas 597 est que les contribuables cambodgiens qui cherchent à exercer leurs activités en tant que mandataire doivent déposer une demande formelle par écrit auprès du Département général des impôts («GDT») du Cambodge pour obtenir une lettre de reconnaissance. Lettre de reconnaissance En outre, le mandant pour le compte duquel le mandataire agit doit être un contribuable résidant au Cambodge et exerçant des activités commerciales au Cambodge pour qu’une lettre de reconnaissance soit émise. Cela exclut donc les agents au Cambodge opérant pour le compte de directeurs étrangers. Les intervenants ont décrit les conditions relatives pour être qualifiées d’agent, reformulées et étendues, ainsi que les documents nécessaires à la reconnaissance en tant qu’agent et ses obligations fiscales comparées à celle du distributeur. Le mandataire est tenu de percevoir toutes les taxes pour le compte du donneur d’ordre mais n’est pas tenu de déclarer ces taxes au GDT (qui est de la responsabilité du mandant). Enfin ont été exposés les conséquences juridiques de ces changements et les risques, tels que le risque de crédit, le risque de perte ou le risque lié à la clause de réserve de propriété. Texte et photographies par Adèle Tanguy

  • Salaires : Le gouvernement propose 177,57 dollars par mois de salaire minimum pour 2019

    Un communiqué du ministère du Travail indique qu’une proposition a été faite pour le salaire minimum avant les négociations de cette semaine. Le ministère du Travail propose que les travailleurs du vêtement reçoivent 177,57 dollars par mois comme salaire minimum pour 2019. Ouvrière du textile, photographie ILO (CC) 211,94 dollars Lors de la réunion avec les employeurs et les syndicats, Far Saly, président de la National Trade Union Coalition, a déclaré que les syndicats avaient proposé que le salaire minimum passe d’environ 170 dollars à 211,94 dollars pour les travailleurs du textile. Le salaire minimum pour les travailleurs a atteint 170 dollars cette année, soit une augmentation de 10% par rapport aux 153 dollars de 2017. Le porte-parole du ministère du Travail, Heng Sour, a déclaré plus tôt dans la semaine que les réunions entre les syndicats, les employeurs et le ministère se termineront ce vendredi. Critères Le ministère du Travail a déclaré la semaine dernière que les syndicats et les employeurs devraient examiner des critères au cours de la période de négociation. Ces critères incluent la famille, l’inflation, le coût de la vie, la productivité, la compétitivité, les conditions du marché et la rentabilité. Quelques jours avant les négociations, lors d’une de ses nombreuses rencontres avec les travailleurs du textile, le Premier ministre avait mis en garde les syndicats sur les retombées néfastes d’une augmentation des salaires trop conséquente qui pourrait altérer la compétitivité du royaume au profit des pays voisins.

  • 2018 : Le Bureau de recherche macroéconomique de l’ASEAN prévoit une croissance à 7,2%

    L’évaluation officielle de l’équipe de surveillance macroéconomique régionale –  (AMRO) prévoit une croissance économique de 7,2% – une meilleure performance par rapport aux 7% de l’année dernière – pour le Cambodge en 2018. 2018 : Le Bureau de recherche macroéconomique de l’ASEAN prévoit une croissance à 7,2% La projection a été partagée par le Dr Junhong Chang, directeur du Bureau de recherche macroéconomique de l’ASEAN + 3, lors de sa rencontre avec le gouverneur de la Banque nationale du Cambodge (BNC) S.E. Chea Chanto à son bureau de Phnom Penh. La tendance, a souligné le directeur, est principalement due au développement régulier des industries de la construction, du textile et du tourisme au Cambodge. L’augmentation des dépenses publiques dans les investissements publics ainsi que les salaires et avantages sociaux des fonctionnaires contribuent également aux résultats économiques positifs de cette année. Tout en maintenant l’inflation à environ 3% seulement, le Cambodge continue d’attirer des investissements grâce aussi à ses réserves de change d’environ 10 milliards de dollars, couvrant environ six mois d’importations de biens et de services. De son côté, S.E. Chea Chanto a remercié le Dr Junhong Chang ainsi que la délégation de l’AMRO pour avoir partagé les chiffres encourageants et pour son soutien continu au gouvernement royal du Cambodge. Son Excellence a également proposé à l’équipe de surveillance macroéconomique en visite de soutenir le renforcement des capacités des responsables techniques cambodgiens à la Banque nationale du Cambodge. Créé en mars 2010, le Bureau de recherche macroéconomique de l’ASEAN + 3 soutient les pays membres de l’ASEAN, la Chine, le Japon et la Corée dans la surveillance macroéconomique et la mise en œuvre des accords financiers régionaux afin d’assurer la stabilité financière nationale et régionale. Par Mum Chandara Soleil – AKP Phnom Penh, Septembre, 2018 –

Accueil   Économie   Tourisme     Culture     Destination     Gastronomie     Sport   Environnement 

bottom of page