Samedi matin, au musée SOSORO de Phnom Penh, je me trouvais devant une série de fragiles négatifs en verre. Rétro-éclairés et agrandis, ils révèlent quelque chose que l'on croyait perdu à jamais : les peintures murales intérieures de la Pagode d'argent, qui avaient disparu.