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8142 éléments trouvés pour «  »

  • ONU : Le Premier ministre à la 73ème session de l’Assemblée générale

    Le Premier ministre Hun Sen participera à la 73ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies du 27 au 30 septembre 2018 à New York. ONU : Le Premier ministre la 73ème session de l’Assemblée générale Cette session sera organisée sur le thème ”Rendre les Nations Unies pertinentes pour tous : leadership mondial et responsabilités partagées pour des sociétés pacifiques, équitables et durables”, indique le communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le Premier ministre sera accompagné de S.E. M. Prak Sokhonn, Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, de Mme Ing. Kantha Phavi, Ministre des affaires féminines et d’autres responsables gouvernementaux. Le Premier ministre a écrit samedi sur sa page Facebook qu’il espérait rencontrer des citoyens cambodgiens vivant aux Etats-Unis. “…Passez un bon week-end tous les compatriotes. Avant de rejoindre l’Assemblée générale des Nations Unies la semaine prochaine, aujourd’hui, je fais du sport à City Golf…J’espère également rencontrer des citoyens de la diaspora durant mon séjour…”, a-t-il écrit. #ONU

  • James Ricketson pardonné après sa condamnation pour espionnage

    James Ricketson, le réalisateur australien de 69 ans, condamné ce mois-ci à six ans de prison pour espionnage, a bénéficié vendredi d’une grâce royale. Le cinéaste australien James Ricketson pardonné après sa condamnation pour espionnage Le décret a été signé par Say Chhum, membre éminent du parti populaire cambodgien, tandis que le roi Norodom Sihamoni est en visite en Chine. Ricketson a été arrêté en juin 2017 après avoir piloté un drone près d’un rassemblement de l’opposition dans la capitale. Il a été placé en détention provisoire pendant plus d’un an avant sa condamnation. Kong Som On, l’avocat de Ricketson, a déclaré que le cinéaste avait l’intention de retourner en Australie. Mais, il devrait revenir au Cambodge pour finir un film sur lequel il travaillait. “…Nous allons l’expulser aujourd’hui…”, a déclaré Keo Vanthan, porte-parole du département de l’immigration. L’avocat de James Ricketson, Kong Sam Onn, l’a confirmé, ajoutant que le visa de l’Australien avait expiré. Som On a ajouté que Ricketson avait écrit une lettre d’excuses au Premier ministre Hun Sen avant sa condamnation. ”…Son travail n’était pas illégal. Le problème était dû à certains critères du travail, mais cela ne signifie pas que c’était illégal. Il n’aurait pas dû publier des nouvelles ou enregistrer des événements…”, a déclaré Som On. La condamnation de James Ricketson et la sévérité du verdict avaient conduit à plusieurs réactions de la communauté internationale. Son procès a vu l’apparition surprise du célèbre réalisateur hollywoodien Peter Weir. Ce dernier a servi de témoin en faveur de son ami. De nombreux militants politiques et membres de l’opposition ont vu leurs peines révoquées après les élections générales de juillet. La grâce de Ricketson intervient quelques jours avant que le Premier ministre Hun Sen ne se rende à New York pour assister à l’assemblée générale des Nations Unies.

  • Thaïlande – Cambodge : Volumes commerciaux en hausse

    Au cours des sept premiers mois de 2018, les volume commerciaux entre le Cambodge et la Thaïlande ont dépassé 4 milliards de dollars, une hausse de 34,4% par rapport à la même période en 2017, indique le rapport officiel de l’ambassade de Thaïlande au Cambodge. Le rapport précise que les volumes d’importations de la Thaïlande au Cambodge s’élèvent à 4,1 milliards de dollars, une augmentation de 40,6% par rapport à 2017 (2,9 milliards de dollars). Les exportations du Cambodge vers la Thaïlande se sont élevées à 500 millions de dollars, une baisse de 1,2% par rapport à la même période en 2017. Le Cambodge exporte des produits agricoles en Thaïlande, tels que maïs, manioc, haricots, etc…La Thaïlande importe au Cambodge des machines, de l’électronique, du pétrole, des matériaux de construction, des cosmétiques, des produits alimentaires et des équipements ménagers.

  • Greenid Prey Lang : 21 millions de dollars pour préserver le sanctuaire

    L’Agence américaine pour le développement international (USAID) vient d’accorder une subvention de 21 millions de dollars à la société Tetra Tech pour un contrat de cinq ans. Tetra Tech est une entreprise de conseil et d’ingénierie. Elle participe à de nombreux projets gouvernementaux à travers le monde. Elle intervient dans les domaines de l’eau, de l’environnement, des infrastructures, de la gestion des ressources, de l’énergie et du développement international. Cet accord intitulé ”Greenid Prey Lang” vise à améliorer la conservation de la biodiversité et à renforcer le développement durable dans la région de Prey Lang. ”…Dans le cadre du programme Greenid Prey Lang de l’USAID, Tetra Tech fournira des services d’assistance technique utilisant une approche intégrée pour la conservation de la biodiversité afin de stimuler la croissance économique…”, indique le communiqué (?) Le PDG de Tetra Tech a déclaré que la société était ravie de soutenir le travail de l’USAID au Cambodge pour promouvoir une gestion inclusive et durable dans ce sanctuaire riche en biodiversité. Située dans quatre provinces du centre-nord du Cambodge, la région de Prey Lang est l’une des dernières forêts sempervirents des plaines d’Asie du Sud-Est. Elle abrite des ressources en eau et une biodiversité importantes. Le paysage est menacé par la déforestation, le trafic d’espèces sauvages et les impacts du changement climatique. Le 18 avril 2016, l’ambassadeur William A. Heidt et S.E. Say Samal, ministre de l’Environnement, ont effectué une mission de reconnaissance aérienne de la forêt de Prey Lang. Ils étaient accompagnés de la directrice de la mission USAID Cambodia, Rebecca Black, H.E. Sak Setha (ministère de l’Intérieur), S.E. Dr. Chheng Kimsun (Administration forestière, Ministère de l’agriculture, des forêts et des pêches) et Dr. Joel Jurgens (Winrock International). Photos: USAID / Michael Gebremedhin (cc) : Greenid Prey Lang : 21 millions de dollars pour préserver le sanctuaire

  • Parcours : Adrien Médeville, la passion des langues et du commerce

    Adrien Médeville est le CEO de l’agence de traduction Simili, qu’il a créée au Cambodge, début 2018. Dès son enfance, puis durant ses études en France, il s’est passionné pour les relations économiques et culturelles avec la Chine. Il s’est lancé ensuite dans la traduction pour concrétiser cette passion. Parcours. CM : Vous avez fait vos études en France… Oui, j’ai fait mes études à l’École supérieure du commerce extérieur (ESCE), à Paris. J’ai préparé un Master de finance en alternance. J’ai choisi de faire mon alternance dans le commerce international, dans une entreprise spécialisée dans l’importation de marchandises en provenance de Chine. Du fait de ma double culture, j’ai toujours voulu travailler entre l’Europe et l’Asie, plus particulièrement entre la France et la Chine. CM : Vous êtes ensuite allé directement au Cambodge ? À la fin de mes études, j’avais déjà un projet professionnel établi. C’était l’ouverture de mon agence de traduction, un secteur que j’ai côtoyé depuis mon plus jeune âge. À la fin de mon Master, j’ai commencé à préparer ce projet en me formant en Chine dans l’entreprise familiale de traduction. J’ai ensuite établi ma propre agence au Cambodge, Simili. L’agence a été ouverte en début d’année, vers avril. Avant cela, j’ai pris toute une année pour préparer le projet, à savoir constituer mon équipe de traducteurs et faire de la prospection à l’international afin de lancer l’activité. Aujourd’hui, j’ai pour objectif de m’établir sur le marché Cambodgien. CM : La traduction, c’est donc une histoire de famille ? Tout à fait, mon père est un traducteur spécialiste du chinois et reconnu dans son domaine. C’est ainsi que j’ai côtoyé le secteur de la traduction depuis mon plus jeune âge. CM : Pourquoi avoir fait le choix du Cambodge ? J’ai de la famille et des amis présents au Cambodge. J’ai tout de suite aimé ce pays. C’est ainsi qu’avec ma compagne, qui a des origines cambodgiennes, nous avons décidé de nous installer ici. Ce fut donc plus un choix du cœur qu’un plan de carrière. CM : Ce “choix par défaut” s’est-il finalement avéré porteur ? En effet, le Cambodge étant un pays en pleine croissance qui offre une facilité d’implantation aux entrepreneurs étrangers, par rapport à d’autres pays dans la région. Nous travaillons principalement à l’international, notamment avec la Chine. Le fait d’être sur un créneau horaire similaire nous offre également un avantage supplémentaire par rapport à la France. Notre agence étant spécialisée sur les langues asiatiques, le chinois principalement, l’arrivée massive des investisseurs chinois représente aussi une opportunité considérable. De plus nos concurrents sur le marché local ne travaillent pas aux standards de la traduction à l’international. Ceci nous permet de nous différencier plus facilement. Cette différence dans nos méthodes de travail nous permet d’obtenir un avantage concurrentiel. C’est pour cette raison que nous souhaitons nous développer sur le marché local. CM : Grâce à quoi pouvez-vous offrir cet avantage ? Tous nos traducteurs traduisent exclusivement dans leur langue maternelle. C’est le B.A-BA de la traduction. Mais ce n’est pas toujours respecté, ici ! Chez Simili, chaque traducteur est spécialisé sur un domaine d’activité précis : médical, légal…Ils ont donc l’habitude de traduire un certain type de document, ce qui leur apporte une grande expertise dans leur domaine. Par ailleurs, ils sont exclusivement freelances. Traducteur compétent En effet, un traducteur compétent n’acceptera jamais d’être salarié d’une agence tout simplement car, en plus d’une rémunération plus intéressante en tant que freelance, le traducteur disposera d’une liberté d’organisation qu’il n’aurait pas en tant que salarié. De plus, nous essayons de garder à chaque fois le même traducteur pour une même entreprise cliente. Nous créons également des mémoires de traductions et glossaires par entreprise. Ainsi les termes techniques utilisés par ces entreprises seront répertoriés et cela leur permet d’harmoniser le vocabulaire utilisé pour chaque document qu’ils souhaitent traduire. Les documents sont ensuite toujours relus, soit en interne soit par un traducteur externe, lui aussi spécialisé dans son domaine. Toutes ces étapes permettant d’assurer une qualité de traduction maximum ne sont, à ma connaissance, pas implantées ici. CM : Quelles langues de traduction proposez-vous ? Nous traduisons principalement depuis l’Anglais ou le Français vers les langues asiatiques. Nous sommes principalement spécialisés sur le Chinois. Néanmoins le Coréen et le Japonais représentent une bonne partie des projets que nous traitons. Notre éventail de langue est néanmoins plus large, nous traitons régulièrement des projets en Thaï, Vietnamien, Malais, Khmer mais aussi des langues telles que l’Italien, ou l’Espagnol. Nous nous développons et sommes en constante recherche de traducteurs. Cependant, notre processus de sélection est lourd. C’est pour cette raison que constituer nos équipes nous prend du temps. Nous préférons ne pas prendre en charge des langues que nous ne sommes pas sûrs de maîtriser plutôt que de prendre le risque de fournir un service qui ne répond pas aux exigences du métier. CM : Comment se fait la sélection ? Tout d’abord, une première sélection se fait sur les CV des traducteurs. Puis, ils sont soumis à toute une batterie de tests soigneusement préparée à l’avance que nous faisons relire par un traducteur spécialisé dans le domaine ciblé. Ensuite, en fonction des tests, nous pouvons évaluer la qualité et les méthodes de travail du traducteur. Par exemple, nous faisons en sorte qu’il y ait des termes techniques qui demandent au traducteur un effort de recherche. Le résultat de ces tests nous permet ensuite d’évaluer la qualité de ses recherches. C’est un des nombreux indicateurs d’évaluation de la qualité des méthodes de travail du traducteur. CM : Combien avez-vous de traducteurs ? Couvrent-ils vraiment tous les domaines dans chacune des langues ? En tout, nous avons une liste élargie de 80 à 100 traducteurs. Mais le noyau dur est composé d’une vingtaine de collaborateurs avec lesquels nous travaillons quotidiennement. Concernant les domaines, cela dépend des langues. Par exemple, vers le Chinois, nous avons beaucoup de demandes dans le domaine légal, la construction mais également dans la gastronomie… En Japonais, nous avons plus de projets dans le médical et la finance. Nos traducteurs sont ainsi plus spécialisés dans ces domaines en fonction des langues. Nous avons aussi des traducteurs spécialisés dans les autres domaines, mais nous faisons moins appel à eux. CM : Des projets pour le futur ? Pour l’instant, nous sommes encore peu présents sur le marché local, mais cela se met en place petit à petit. À l’avenir, nous comptons vraiment nous spécialiser sur le marché cambodgien. L’idée serait de développer des services qui n’existent pas encore au Cambodge. En effet, les agences de traduction fonctionnent encore avec un modèle assez archaïque, notamment avec des documents papier et avec un traducteur en interne qui traduit des documents à la chaîne, sans être spécialisé dans un domaine particulier. Nous avons par ailleurs commencé à constituer une équipe de traducteurs vers le Khmer. Mais nous sommes encore en recherche de nouveaux traducteurs car l’équipe ne couvre pas encore certains domaines. Quand l’équipe sera vraiment constituée, j’aimerais me diriger vers les différents organismes compétents pour obtenir toutes les certifications nécessaires, et acquérir ainsi une certaine crédibilité sur le marché local. CM : Comptez-vous par la suite exporter vos services à l’étranger ? L’objectif actuel de Simili est d’abord de se développer au Cambodge. Si, par la suite, nous avons l’opportunité de nous exporter dans d’autres pays, ce serait avec grand plaisir ! C’est envisageable, mais pour l’instant, ce n’est pas la priorité. Même en restant au Cambodge, nous pouvons déjà travailler avec des entreprises dans toute l’Asie du Sud-Est et à l’international. CM : Pensez-vous que le secteur de la traduction soit amené à connaître des évolutions, au Cambodge, prochainement ? Avec l’arrivée massive des investissements chinois, il y a énormément d’acteurs sur le marché qui vont avoir et qui ont déjà besoin de faire traduire des documents vers le Chinois. Nous cherchons donc, dans un premier temps, à nous développer sur cet axe-là. Nous avons notre carte à jouer, car le Cambodge est en plein développement. Les besoins professionnels en traduction, notamment sur le chinois vont se faire de plus en plus ressentir alors que la qualité proposée actuellement n’est pas aux standards internationaux. Propos recueillis par Adèle Tanguy

  • Yang Bunthoeun, un pédagogue tenace

    Frappé par la lèpre, Yang Bunthoeun raconte comment il a pu surmonter la maladie et la misère pour trouver sa voie, l’enseignement pour les plus démunis. Yang Bunthoeun, un pédagogue tenace La trentaine entamée, Yang Bunthoeun est aujourd’hui directeur d’une petite école primaire dans un village de Kompong Speu, au sud du Cambodge. Un hameau construit dans les années 1980 par des mutilés d’une guerre qui continuait de ravager le Cambodge. Premiers signes Bunthoeun, lui, est originaire d’une commune à 100km de là. Son histoire est marquée par une autre infortune : issu d’une fratrie de 7, ils sont 4 enfants à avoir contracté la lèpre, dont Bunthoeun. Doué à l’école, malgré des parents très pauvres, il a réussi à poursuivre des études universitaires en pédagogie, à force de ténacité et avec le soutien de CIOMAL. Il raconte ”…Les premiers signes de la maladie se sont manifestés lorsque j’avais 15 ans, raconte-t-il. Mais je ne savais pas ce que c’était. A 18 ans, j’ai perdu l’usage d’une de mes jambes qui s’était atrophiée et traînait derrière moi lorsque je marchais. J’ai eu un choc lorsque j’ai compris que j’avais la lèpre. J’avais entendu dire que l’on jetait les malades hors des villages et qu’ils étaient condamnés à errer dans le pays, rejetés par tous….”. Inquiétudes ”…J’étais très inquiet, mes parents aussi. Ils ont remué ciel et terre pour me trouver les médicaments nécessaires; ils se sont ruinés en m’emmenant consulter des médecins, des guérisseurs, des devins… Ce n’est que deux ans plus tard que nous avons entendu parler du centre de santé KKLRC, dirigé par CIOMAL à Phnom Penh. C’est là que l’on m’a administré le traitement. C’est aussi là que j’ai compris que la maladie était guérissable et qu’un avenir était possible pour les personnes atteintes de la lèpre…”. CIOMAL C’est d’ailleurs dans ce centre que Bunthoeun a rencontré son actuelle épouse, ouvrière textile et mère de leurs deux enfants. ”…Nous nous sommes connus par téléphone, elle avait composé mon numéro par erreur, confie-t-il. Mais nous avons poursuivi nos conversations pendant plus d’une année. Je ne l’avais jamais vue même pas en photo. Lorsque les chirurgiens de CIOMAL m’ont opéré la jambe en 2011, elle est venue me voir, elle a compris que j’avais eu la lèpre, mais elle ne m’a posé aucune question. Nous n’en avons jamais parlé. Je suis resté 2 mois à l’hôpital, elle s’était libérée pour rester un mois auprès de moi…”. Mariage ”…Nous nous sommes mariés 3 ans plus tard. D’abord, je devais finir mes études que j’avais commencées en 2009. J’étais très pauvre mais je me suis retrouvé avec des enfants de riches, des fils à papa, qui ne voulaient pas étudier. Ils ont fait un deal avec moi. Ils me payaient des cours particuliers, le matériel et les repas, en échange ils photocopiaient mon carnet de note en falsifiant leur nom pour le présenter à leurs parents. Ainsi ils faisaient l’école buissonnière et j’étudiais à leur place. Engagement ”…J’ai toujours travaillé à côté de mes études. J’ai commencé comme enseignant dans ma petite école, puis on m’a proposé le poste de directeur. Les enfants qui viennent ici sont d’une pauvreté extrême, certains arrivent de très loin, pieds nus, sans rien dans le ventre. Je veux leur transmettre le savoir pour qu’ils puissent à leur tour s’en sortir…”. Yang Bunthoeun a pu étudier grâce à une bourse de Peter Donders Foundation. Il est membre du bureau exécutif de l’association des personnes handicapées atteintes de la lèpre. CIOMAL (Campagne Internationale de l’Ordre de Malte contre la lèpre) est une Fondation crée en 1999. Elle a pour but de lutter contre la lèpre et contre toutes les exclusions liées à cette maladie. Depuis sa création, le CIOMAL finance et gère des centres où la prévention, les soins médicaux, la réhabilitation sociale et la formation du personnel soignant sont mis en œuvre en accord avec les gouvernements des pays concernés. L’Ordre de Malte est présent dans 48 des pays affectés par la lèpre, surtout au Cambodge, en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie du Sud-Est. Par www.ciomal.ch Ne les oublions pas, ils ont besoin de nous! Merci de votre généreux soutien CCP 12-13717-1 IBAN-BIC: CH34 0877 0000 0005 0224 2 – MIRACHGG

  • Tourisme : Petite poussée de visiteurs à Kampong Cham

    Au cours des neuf premiers mois de cette année, la province paisible de Kampong Cham a attiré 395 300 visiteurs locaux et étrangers, soit 27% de plus qu’en 2017, indique un rapport publié par le directeur provincial du département tourisme. La galerie de photos ci-dessous montre des touristes étrangers visitant la ville de Kampong Cham, dans la province éponyme. Photographies : Chhay Moth – AKP Petite poussée de visiteurs à Kampong Cham Ces touristes sont des croisiéristes du bateau Marguerite. Ce dernier propose des croisières de Siem Reap à Phnom Penh avec plusieurs arrêts : Kampong Chhnang et Kampong Cham.

  • Logements sociaux – PNUD : Premiers projets concrets en 2019

    Il y a quelques mois, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Zone Économique Spéciale de Phnom Penh (ZES) lançaient une initiative visant à améliorer les conditions de logement des travailleurs de la zone. Le PNUD a donc lancé un concours de design pour ce projet, qu’il finance en partie. L’objectif final est que les travailleurs puissent louer ou acheter le logement occupé sans que l’engagement financier mensuel ne dépasse les 100$ US. Design primé pour la ZES de Phnom Penh. Illustration atArchitecture C’est la société atArchitecture qui a remporté le concours. Le projet primé servira également de modèle pour les maisons des autres villes du pays en urbanisation rapide. Dans un premier temps, 3000 unités seront construites en 2019. Il s’agit du premier programme de logements sociaux destiné à la classe ouvrière depuis les années 60. Le concours organisé par le PNUD dans le cadre de sa stratégie vise aussi à encourager les investissements dans le développement durable. Design primé pour la ZES de Phnom Penh. Illustration atArchitecture ZES Ce concours nécessitait la conception de logements pour les travailleurs et leurs familles dans la zone économique spéciale (ZES) de la capitale Phnom Penh, l’objectif étant d’améliorer la qualité de vie des résidents. Dans la ZES, ”…les options de logements de haute qualité, abordables et sûrs sont limitées…”, a déclaré David Cole, directeur de la société britannique Building Trust International, qui construira les logements sociaux. atArchitecture Selon le PNUD, il y a plus de 17 000 travailleurs dans la ZES de Phnom Penh. Le nombre devrait augmenter régulièrement. Le projet présenté par atArchitecture est de faible hauteur, utilise des briques et du béton d’argile, ce qui le rend rentable et adaptable à toute ville tropicale à forte densité d’occupants dans les bâtiments…”, a déclaré son responsable Avneesh Tiwari. “…Il est conçu comme un logement social sûr et sécurisé…”, a-t-il ajouté. Cela est particulièrement primordial dans la ZES de Phnom Penh, où plus des deux tiers des travailleurs des usines de vêtements et de textiles sont des femmes. Projet adaptable “…Avec des modifications mineures, le projet peut être adapté à n’importe quelle ville de la région tropicale en raison de sa réponse appropriée au climat et à la nécessité d’une densité élevée d’occupants…”, a ajouté Tiwari. ”…Le mois prochain, une exposition présentera d’autres projets présélectionnées, fournissant ainsi une ressource aux investisseurs, aux promoteurs et au gouvernement pour la fourniture de logements abordables…”, a déclaré Nick Beresford, directeur national du PNUD au Cambodge. En Asie, les investissements de ce type sont particulièrement nécessaires pour les logements à bas prix dans les villes en plein essor qui ont du mal à répondre à la demande croissante. Les travailleurs s’accommodent souvent de logements basiques qu’ils partagent à plusieurs.

  • Transports : Cinq lignes de bus supplémentaires dans Phnom Penh

    La municipalité de Phnom Penh envisage d’augmenter le nombre de lignes de bus de la ville de 13 à 8 en raison de la demande croissante pour ce service public. Transports : Cinq lignes de bus supplémentaires dans Phnom Penh Selon la municipalité, les cinq lignes de bus de la ville commenceront à fonctionner en octobre de cette année. L’expansion du service est rendue possible grâce à un don du gouvernement japonais de 140 véhicules. D’une valeur totale de 8 millions de dollars EU, le premier lot d’autobus est arrivé au Cambodge en juin 2018. Le développement des transports en commun de Phnom Penh est considéré comme une alternative efficace pour faire face au trafic routier qui s’accroît et aux embouteillages. Phnom Penh a lancé son premier service de transports publics routiers en 2014. 157 bus urbains circulent actuellement sur huit lignes, desservant environ 20 000 passagers par jour. Avec AKP Phnom Penh, septembre 2018 –

  • Coopération : L’allemagne souhaite une coopération plus fructueuse

    Markkus Benjamin Kodo, membre de l’Assemblée fédérale allemande, a annoncé jeudi que l’Allemagne était prête à soutenir le développement du Cambodge. Il a précisé que les excellentes relations existantes serviront de tremplin à une coopération fructueuse. Markkus Benjamin Kodo et le Premier ministre Hun Sen Eang Sophalleth, secrétaire personnel du Premier ministre, a déclaré que Markkus avait transmis les félicitations d’Angela Markel, Chancelière d’Allemagne pour la réélection d’Uhn Sen à la tête du gouvernement. Markkus a également précisé que c’était sa première visite au Cambodge. Il a déclaré qu’il était heureux de constater le développement du royaume, en particulier vers la réduction de la pauvreté et les efforts entrepris auprès des travailleurs du textile. Il a ajouté avoir été agréablement surpris par  le nombre de sociétés multinationales prestigieuses installées au Cambodge et produisant des biens de qualité. Markkus Benjamin Kodo a réaffirmé l’engagement de l’Allemagne à aider le développement cambodgien et à développer la coopération entre les deux pays. En réponse, le Premier ministre a remercié la chancelière Markel pour le message de félicitations. Il a ajouté que le gouvernement royal du Cambodge travaillait à l’amélioration des conditions de travail des travailleurs, à la croissance et à la stabilité politique.

  • Gouvernement : Edouard Philippe réaffirme l’engagement français avec le Cambodge

    Edouard Philippe, Premier ministre de France, a adressé le 17 septembre 2018 une lettre au Premier ministre cambodgien Hun Sen. L’homme politique français réaffirme l’engagement de la France pour travailler avec le nouveau gouvernement cambodgien. Edouard Philippe, Premier ministre de France. Photographie WK (CC) Il s’agit de la deuxième lettre d’un leader européen suite à la première lettre de la chancelière allemande, Angela Markel, félicitant le Premier ministre cambodgien Hun Sen pour avoir remporté les élections législatives de 2018. ”…Au moment ou le Cambodge entame une nouvelle page de son histoire, sous l’autorité du gouvernement que vous conduisez, permettez-moi de réaffirmer la disponibilité de la France aux côtés de votre pays pour soutenir la construction d’un Cambodge démocratique, en paix et au développement inclusif…”, indique la lettre du ministre. Ce dernier réaffirme également la volonté de la France de poursuivre un dialogue ouvert et constructif. Il indique également se féliciter de la libération de Kem Sokha et d’autres militants, ajoutant : ”…J’espère que ces gestes seront suivis par d’autres…”

  • Donald Trump : Nous sommes ravis de travailler avec le Cambodge

    Le président des États-Unis, Donald Trump, a déclaré que l’arrivée du nouvel ambassadeur cambodgien à Washington est importante à plusieurs niveaux, indique un communiqué de presse de l’ambassade du Cambodge aux États-Unis. “…L’arrivée du nouvel ambassadeur signifie plus de 25 ans de relations normalisées dont nous avons bénéficié depuis l’accord de paix de Paris…”, a déclaré le président Trump à l’ambassadeur cambodgien nouvellement nommé, Chum Sounry. “…Nous savons que le Cambodge a un potentiel de développement exceptionnel pour l’avenir, et nous sommes ravis de travailler ensemble sur une myriade de défis et d’opportunités..”, a ajouté le président américain…

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