Dans son saisissant «Concombres amers», Séra, qui a fui le Cambodge en 1975, éclaire l’antichambre du génocide perpétré par les Khmers rouges.
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La rizière et les faubourgs, le silence et les fantômes. Et cette certitude que l’abysse est proche. Dès le début, les Concombres amers s’immergent dans le chaos, l’arrière-cour du conflit vietnamien. Les années 60 s’achèvent, le massacre est à venir. Le Cambodge dévisse vers la guerre. Sous la canopée de la jungle, les Nord-Vietnamiens multiplient les incursions dans le royaume via la piste Hô Chi Minh. Lire la suite ici…
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