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8204 éléments trouvés pour «  »

  • La Banque Asiatique de Développement et le Fonds Monétaire International favorables aux perspectives

    Les agences internationales de financement se disent favorables aux perspectives économiques du Cambodge pour la sixième législature. Elles espèrent continuer à soutenir le gouvernement royal. Cet optimisme partagé a été évoqué lors d’une réunion entre le ministre de l’Economie et des Finances et la Banque asiatique de développement et le Fonds monétaire international (FMI) au bureau du ministère à Phnom Penh. Mme Cleo Kawawaki, vice-directrice générale de la BAD pour le département de l’Asie du Sud-Est Mme Cleo Kawawaki, vice-directrice générale de la BAD pour le département de l’Asie du Sud-Est, a salué la croissance rapide du Cambodge avec une augmentation du produit intérieur brut par habitant d’environ 1 500 dollars depuis 1992. La BAD, a-t-elle ajouté, appuiera le partenariat avec le Cambodge afin de continuer à contribuer au développement du pays pour le sixième mandat, et au-delà. De son côté, le directeur adjoint du Département Asie et Pacifique du FMI, le Dr Markus Rodlauer, a déclaré que la croissance du Cambodge en 2018 ira probablement au-delà des attentes. Dans sa réponse, S.E. Aun Pornmoniroth a remercié les délégués en visite pour leur soutien continu et a apprécié leur contribution au développement du Cambodge. Il a également exprimé sa confiance dans le fait que le nouveau gouvernement royal du Cambodge réalisera davantage de progrès dans un proche avenir. Avec AKP Phnom Penh, septembre 2018 –

  • Arts : Neuvième édition du Festival Photo Phnom Penh 2018

    Le rendez-vous incontournable de la photographie en Asie du Sud-Est aura lieu une nouvelle fois à Phnom Penh. Il célèbre sa 9ème édition en 2018 ! Fidèle aux orientations qui ont été prises dès la première édition, Photo Phnom Penh continue à développer les échanges entre photographes asiatiques et européens. Le Festival ambitionne de mettre en valeur l’émergence d’une nouvelle photographie cambodgienne. Concept Le concept du festival Photo Phnom Penh repose sur l’idée de nourrir les échanges entre artistes européens et asiatiques. Cette année, quatre artistes locaux et dix artistes internationaux d’Europe, d’Asie et des États-Unis présenteront leurs œuvres. Ils se rencontreront dans le cadre du festival pour partager leurs expériences et leurs histoires dans le but d’inspirer la relève et d’approfondir leur savoir et leur pratique de la photographie. Participants Cette année, se sont Charles Fréger (France), JH Engström (Suède), Yang Ming (Chine), Alexey Shlyk (Biélorussie), Florence de Lassée (France), Daesung Lee (Corée du Sud), Olivier Culmann (France), Lim Sokchanlina (Cambodge), Lamo (Cambodge), Michael Vickery (Etats-Unis), Yoshinori Mizutani (Japon), Mal Remissa (Cambodge) et Watsamon Tri-Yasakda (Thaïland) qui ont été invités à exposer leurs œuvres et leur travail tout autour de la capitale cambodgienne. Le Jour J pour Photo Phnom Penh se rapproche à grand pas, et les différentes expositions sont en cours d’installation tout autour de Phnom Penh Le festival se tiendra sur trois jours, les 05, 06 et 07 octobre prochains, et se prolongera du 05 octobre au 05 novembre 2018. La programmation englobe une série de festivités telles que la soirée d’ouverture, une conférence sur la photographie, des concerts, une revue de portfolios et des projections photographiques dans divers lieux de la capitale. Christian Caujolle « Merci à toutes celles et ceux qui ont rendu possible cette nouvelle édition. Deux expositions auront lieu cette année à l’intérieur d’établissements scolaires avec la présentation de photos questionnant le futur et l’environnement. Point de départ, nous l’espérons, de nouvelles perspectives pédagogiques. Nous espérons aussi que cela constituera un premier pas pour le  développement du festival dans les prochaines années. », déclare Christian Caujolle, directeur artistique de l’Association Photo Phnom Penh. Christian Caujolle, directeur artistique de l’Association Photo Phnom Penh Christian souligne également un fait saillant de cette édition qui, à travers une exposition en plein air sur l’île de Koh Pich, lieu populaire de la jeunesse Phnom Penhoise, offre la possibilité de sensibiliser le grand public à l’art photographique. Remerciements Cette année encore, le festival Photo Phnom Penh demeure un incontournable en Asie du Sud-Est. Le festival, qui se veut une plateforme pour les artistes photographes et les amateurs de photographie, est co-organisé par l’Association Photo Phnom Penh (APPP) et l’Institut français du Cambodge (IFC) en collaboration avec le Ministère de l’Éducation, le Ministère de la Culture et des Beaux-Arts du Cambodge et la Mairie de Phnom Penh. Cette nouvelle édition n’aurait pas été possible sans le soutien de M. Zhong Weixing, collectionneur et photographe.   Le festival a pu être organisé cette année grâce au soutien de l’Institut français du Cambodge et de l’Institut français (Paris), ainsi que grâce à l’association des Amis de Photo Phnom Penh et de nombreux donateurs privés. L’équipe du festival remercie les galeries et lieux partenaires : galerie de l’IFC, Centre Bophana, X-em, DC-Cam, Java Creative Café, Koh Pich, l’ambassade de France au Cambodge, le lycée Preah Sisowath, le collège Chaktomuk, de même que nos partenaires créatifs Signature Design, Chenla Media, et SPK. Nous remercions également les bénévoles, de plus en plus nombreux, qui s’impliquent dans la préparation et le déroulement du festival. Plus d’informations : Association Photo Phnom Penh (APPP)            Institut français du Cambodge (IFC) Philong SOVAN, Vice-Président                          Marion Nollet, Responsable Communication +855 12 377 460                                                   +855 12 333 501

  • Tradition : Début de la fête religieuse Kan Ben

    Lok Chumteav Khieu Tep Rainsy Kanharith, épouse du ministre de l’information Khieu Kanharith et présidente honoraire de l’Association des femmes pour la paix et le développement du ministère de l’Information, accompagnée des responsables du ministère, célébrait aujourd’hui le premier jour de  Kan Ben. Lok Chumteav Khieu Tep Rainsy Kanharith, présidente honoraire de l’Association des femmes pour la paix et le développement du ministère de l’Information (au premier plan) Le festival Kan Ben durera 14 jours. Cette première journée était célébrée à la pagode North Chen Damdek à Sangkat Sras Chak, Khan Daun Penh, Phnom Penh cet après-midi. Début de la fête religieuse Kan Ben Cette fête religieuse est la période de l’année durant laquelle les Cambodgiens se rendent à la pagode pour proposer des offrandes aux bonzes qui les transmettront ensuite, croient-ils, aux esprits de leurs ancêtres. Kan Ben fait partie de la fête de Pchum Ben, fête traditionnelle des morts que célèbrent presque tous les Cambodgiens vers le quinzième jour après le Kan Ben qui commence du 1er jour au 14ème jour de la lune décroissante du mois de Photorobot du calendrier lunaire. Photographies : Khem Sovannara – AKP

  • Chronique : Mes chers parents, et les Khmers rouges dans tout ça ?

    C’est la question que je me pose depuis mon arrivée. Et les Khmers rouges, dans tout ça ? Que font-ils à présent ? Où habitent-ils ? Se sont-ils évanouis dans la nature ; volatilisés, envolés pour l’étranger ? Je ne parle pas des personnalités, des dirigeants, dont le sort est connu car rendu public, mais de ces « jeunes camarades », ces soldats, ces petits membres anonymes de l’Angkar. De ces enfants et ados que l’on voit si bien interprétés dans le film d’Angelina Jolie, tiré du livre « d’abord ils ont tué mon père ». Khmer Rouge. Photographie par F.Amat Que sont devenus tous ceux qui terrorisaient le Cambodge ? Qui envoyaient à la mort un père de famille pour un oui ou pour un non, pour un grain de maïs volé à l’Angkar ? Ils sont là. Partout. A Phnom Penh ou ailleurs. Ils ont la cinquantaine, plus ou moins. Et vivent comme tout le monde. A côté de tout le monde. Char et soldats Khmers Rouges. Photographie F.Amat L’achâr Je vais vous raconter deux histoires terrifiantes. Des histoires qui se sont déroulées dans mon village de campagne et non loin. Deux histoires qui m’ont profondément ébranlé. La première est une drôle de leçon d’humanité. Elle résume à elle seule toute la philosophie asiatique basée sur la croyance en la réincarnation… L’acteur principal vit à la pagode qui jouxte ma maison en bois. Epais cheveux gris, visage carré, yeux vitreux de ceux qui vivent avec la malaria, chemise blanche sans col, large pantalon de satin noir. C’est l’achâr, le maître des cérémonies, le laïc qui gère le temple, le gardien de la mémoire des nombreux rituels. Chaque pagode en a un. Personnage toujours très important, il est le lien entre le monde extérieur et le sacré et entre les bonzes et les profanes. Ici, dans ce village si banalement cambodgien, l’achâr est un ancien khmer rouge. Et pas n’importe quel rebelle communiste ! Lui, a été le gardien et surtout le bourreau chargé de « l’éducation » de ce village entre 1975 et 1979 ! Oui, mes chers parents, vous avez bien lu. Le type qui s’occupe de faire monter les prières directement à Bouddha est un ancien assassin en pyjama noir et krama rouge. Criminel Ce criminel a au moins un mort de chaque famille de ce village sur la conscience ! Son histoire est simple. Enrôlé de force à 15 ans comme « jeune camarade » lors de la victoire de Pol Pot, il est installé dans ce village non loin de Kampot et y officiera durant trois ans. Chaque mois, il se rend à Phnom Penh « chercher les ordres », en réalité écouter des discours fleuves sur la « gestion » des citoyens, parsemés de slogans forts répétés à foison : « Mieux vaut exécuter un innocent que d’épargner un ennemi ». « Pour le peuple et pour l’armée, la vie comme la mort se font pour la grandeur de la révolution ». « Pour battre l’ennemi extérieur, il faut d’abord détruire celui de l’intérieur ». « L’Angkar ne fait jamais d’erreur ». Réalité nuancée Des erreurs ? Non, il n’en a fait aucune, répète celui qui n’a qu’un désir, réécrire l’histoire, la sienne ; et surtout racheter ses pêchés. « D’ailleurs, s’il avait fait du mal, les villageois l’auraient-ils accueilli comme ils l’ont fait à son retour, quelques années après la libération ? » La réalité est beaucoup plus nuancée. Les habitants du village l’expliquent : « Lorsqu’il est revenu, les années avaient passé. A l’horreur des Khmers rouges s’était substituée une nouvelle menace : l’occupation vietnamienne et son cortège d’exactions, de privations. La vie était tout aussi dure. Alors, personne ne lui a prêté attention, ou presque. Il y a bien eu quelques bagarres, bousculades. Il faut comprendre : des gens dans le village ont perdu toute leur famille à cause de lui, alors… Mais il faut bien réaliser aussi que tout le mal qu’il a fait ne se rachètera jamais, même en passant sa vie dans une pagode. Rien ne fera revenir nos disparus non plus. La haine est là, dans nos cœurs, rien n’est pardonné. Mais de vengeance, non, il n’y en a point. Durant toute notre vie, nous travaillons à faire le bien pour espérer une vie meilleure dans le futur. Si nous nous abaissons à lui faire du mal, c’est contre nous que cela se retournera. Il n’en vaut pas la peine. Il a tant de souffrances sur la conscience qu’il est maudit à jamais ». Ainsi, l’homme est revenu au bon moment. Il n’est pas aimé certes, il est seulement ignoré et beaucoup d’habitants ne fréquentent pas cette pagode. A cause de lui. « Seuls y viennent ceux qui ne savent pas. Car on ne parle pas de ces choses-là en général », m’explique mon ami, Ta Sâr. Jeunes camarades A cinq kilomètres de là se trouve un autre village, une autre histoire. Le couple de « jeunes camarades » est revenu trop tôt sur les lieux de leurs méfaits. Ils sont arrivés avec leurs filles, deux jumelles d’à peine 5 ans. La foule les a entourés. Le ton est monté. Des femmes ont pris les enfants par la main et les ont attirés à l’écart. Pendant que leurs parents se faisaient lyncher à mort. « La haine était trop forte. Personne n’a pu se contenir. Ha ! S’ils n’étaient pas revenus au village, du moins aussi rapidement, ils vivraient encore », poursuit Ta Sâr. Et les jumelles ? « Elles vont bien. Élevées par ceux-là mêmes qui ont massacré leurs parents presque sous leurs yeux, elles sont mariées avec des jeunes du coin ; elles ont des enfants. Elles vivent toujours au village ». Ainsi va la vie, quelque part au Cambodge. A bientôt, Frédéric Amat NDA: Ces deux histoires sont totalement authentiques.

  • Siem Reap – Angkor Wat : 4000 visiteurs pour l’équinoxe

    Plusieurs milliers de touristes locaux et étrangers affluaient au petit matin du 23 septembre au Temple d’Angkor Wat pour admirer et prendre des photos du soleil se levant sur la tour centrale du fameux temple. Siem Reap – Angkor Wat : 4000 visiteurs pour l’équinoxe A cette occasion (équinoxe), le soleil se lève exactement sur le sommet du temple principal d’Angkor. Cela n’arrive que deux fois par an, à une période de l’année où le soleil traverse le plan de l’équateur terrestre et où le jour et la nuit sont de la même longueur. Siem Reap – Angkor Wat : 4000 visiteurs pour l’équinoxe Photographies : Khuth Sao – AKP #Tourisme

  • Furi Times Square : Premier grand mall pour Sihanoukville

    Le centre commercial Furi Times Square, qui sera construit sur un hectare de terrain à Sihanoukville devrait être achevé en septembre 2019. Furi Real Estate, entreprise cambodgienne, a déjà été impliquée dans plusieurs projets majeurs, notamment la Casa Meridian Condo, le Bhumi Emerald et le De Castle Royal. Furi Times Square : Premier grand mall pour Sihanoukville Avec un investissement de dix millions de dollars US, la construction de ce premier grand centre commercial de Sihanoukville a débuté jeudi dans le quartier Mittapheap. Lors de la pose de la première pierre, Chin Chanlen, directeur de Furi Times Square, a déclaré que la décision d’investir dans un centre commercial de la ville côtière faisait suite à la demande croissante des touristes dans la province, en particulier d’origine chinoise. ”…Sihanoukville n’avait pas encore de centre commercial digne de ce nom…Nous pensons que c’est un investissement judicieux et que ce sera un succès en raison de l’augmentation du nombre de touristes et d’investisseurs étrangers…”, a-t-elle déclaré, ajoutant que le centre commercial a été conçu pour être moderne et écologique, et visant la clientèle chinoise. Les touristes chinois sont les visiteurs étrangers les plus nombreux dans la région – en hausse de près de 44% par rapport à l’an dernier. Les données du Ministère du tourisme indiquent qu’au cours des sept premiers mois de 2018, les arrivées de touristes internationaux au Cambodge ont atteint 3,45 millions, une hausse de plus de 11% par rapport à la même période en 2017. Les touristes chinois représentaient environ un million des arrivées.

  • JICA : Feux verts pour Phnom Penh

    Sous la supervision de l’Agence japonaise de coopération internationale, la municipalité de Phnom Penh a installé une centaine de  feux de circulation et de caméras de sécurité pour réduire les embouteillages. 115 feux prévus M. SAM Piseth, directeur du département des travaux publics et des transports de Phnom Penh, a indiqué dimanche matin que 115 feux étaient prévus et que l’Agence de coopération internationale du Japon en a installé et fait fonctionner 105, les 10 derniers étant à venir. Nouveaux feux de signalisation. Photographie par construction-property.com La semaine dernière, l’équipe a installé et mis en service quatre nouveaux sites: 1- l’intersection entre le boulevard Sihanouk et le boulevard Sothearos; 2- l’intersection entre la rue 337 et la route 566; et rue 2002 et 4ème – Intersection du trafic le long de la route nationale 4 et de l’usine QMI. M. Sam Piseth a déclaré que Phnom Penh compte actuellement 160 emplacements de feux de signalisation. La municipalité prévoit également de produire un clip vidéo pour expliquer au public comment utiliser le nouveau système. En attendant que ces nouveaux feux fonctionnent, ce sont les policiers qui ”assurent” la circulation aux intersections les plus encombrées. Manque de coopération M. Kimtry, directeur adjoint du département municipal des transports, a déclaré que le projet était retardé en raison du manque de coopération des résidents et des conditions défavorables pour les travaux routiers : ”…Ces projets sont toujours confrontés à des obstacles. L’installation des pôles de circulation est l’une d’entre elles. Il est difficile de trouver un endroit adéquat sans trop perturber la circulation existante. Lorsque nous les installons devant les maisons des résidents, les propriétaires ne veulent pas coopérer parce qu’ils disent qu’ils bloquent leur maison…”. JICA Tout au long de la mise en œuvre du projet, JICA, l’agence japonaise qui finance et implémente le projet, offre également une formation aux agents de transport sur la meilleure façon de gérer le trafic depuis le centre de contrôle de la circulation. À la fin du projet, les travaux de maintenance de la feux de signalisation seront effectués par le service des transports municipaux.

  • Déchets : Vers une unité de recyclage à Bavet

    L’autorité de Svay Rieng négocie actuellement avec M. YUSUKE OKUMURA, directeur de GOMI RECYCLE 110 CO., LTD (Japon) et M. Yasuhara, représentant de la JICA et de ses associés impliqués dans les projets de gestion des déchets. Ville de Bavet. Photographie Christophe Gargiulo Des projets sont évoqués pour construire une usine de recyclage des déchets en matériaux de construction et en mobilier. Le représentant de la société Heibuy  qui gère la collecte des ordures ménagères dans la ville de Bavet, a indiqué qu’environ 120 à 170 tonnes de déchets quotidiens sont produites dans la ville de Bavet. ”…S’il y a une entreprise de recyclage qui s’installe, nous l’accueillerons à bras ouverts…”, a-t-il déclaré. 19 camions à ordures et 50 travailleurs exploitent la collecte des ordures dans la ville de Bavet. Dans le passé, il n’y avait que 70 à 90 tonnes de déchets par jour, mais en 2018, les déchets ont atteint 120 à 170 tonnes quotidiennes. L’idée de transformer les déchets en matériaux de construction, en équipements et en meubles permettra aussi de créer davantage d’emplois pour les habitants de la ville et de la province.

  • Siem Reap : Kandal Market, seconde édition réussie

    C’est ce samedi 22 septembre que s’est tenue à Siem Reap la seconde édition du Kandal Market. Cet évènement, qui s’est déroulé sous un soleil radieux, a donné à ce charmant quartier des airs de kermesse, avec ses stands, sa musique, ses grillades et sa convivialité. Kandal Market, seconde édition réussie En plus des boutiques habituelles, 13 exposants avaient dressé pour l’occasion leurs tréteaux, pour le plus grand plaisir du public venu flâner dans la rue principale. Des animations ont ponctué cette journée, telle, à la nuit tombée, cette impressionnante démonstration de bokator, la boxe traditionnelle cambodgienne. Les plus perspicaces ont aussi pu bénéficier des prédictions gratuites d’un diseur de bonne-aventure, à condition de le débusquer parmi la foule. Cette belle journée a motivé les organisateurs à planifier plus régulièrement de telles rencontres. En ce sens, la boutique Soieries du Mékong et le restaurant Casa Sur, principaux promoteurs du Kandal Market, songent déjà à une nouvelle édition dès le mois de novembre. De quoi dynamiser encore plus ce quartier, qui s’apprête à accueillir la venue prochaine de Ly Pisith et de son magasin Garden of Desire. Une galerie d’art ouvrira quant à elle ses portes en décembre, en même temps qu’un primeur bio. La concentration de créateurs et d’entrepreneurs dans ce quartier donnera l’occasion pour Cambodge Mag de dresser quelques portraits de ces personnalités aux parcours souvent étonnants, qui contribuent à faire de Kandal Village un lieu incontournable de Siem Reap. Pour plus de photographies, cliquer ici… Texte et photographies par Rémi Abad

  • Nature : 565 tortues asiatiques relâchées à Kratie

    565 tortues géantes asiatiques à carapace molle, une espèce en voie de disparition ont été relâchées la semaine dernière dans la province de Kratie, annonce la Wildlife Conservation Society (WCS). Tortue géante asiatique à carapace molle, une espèce en voie de disparition. Photographie WCS Cette opération vise à renforcer la population sauvage de cette espèce que l’on pensait avoir disparu du tronçon du Mékong au Cambodge. Plusieurs spécimens ont été redécouverts en 2007 entre les provinces de Kratie et Stung Treng. Ngourn Chanti, le coordinateur du projet de la WCS, a déclaré que les nouveau-nés étaient collectés dans des nids protégés par les communautés locales. Bon nombre des participants au projet sont d’anciens chasseurs de tortues. Ces derniers ont été recrutés pour protéger les nids. ”…Le programme de protection communautaire encourage la participation des communautés locales vivant dans les provinces de Kratie et Stung Treng…”, a déclaré la WCS, ajoutant que depuis 2007, 402 nids ont été protégés et 9 047 nouveau-nés ont été libérés. Le projet est mené en collaboration avec l’Administration des pêches, Wildlife Reserve Singapore et Turtle Survival Alliance.

  • Motoland, pour les passionnés du Grand Touring et de l’Enduro

    La société MOTOLAND CAMBODIA, récemment implantée à Phnom Penh, est une agence de voyage Motos. L’entreprise représente également les marques françaises de motos MASH et d’équipements de protection KENNY RACING. Motoland possède un magasin près du Marché russe avec un Showroom pour accueillir les clients et exposer motos et autres articles et accessoires de deux roues. L’entreprise propose aussi un nouveau concept sur Phnom Penh en créant un Bike Meet tous les Vendredi de 17h à 21H afin de rencontrer des passionnés du monde de la moto Grand Touring et Enduro et partager des moments, des histoires et des aventures. Nouveau concept Motoland propose également, pour la première fois à Phnom Penh, un marché de Dépot-vente. Toute personne voulant vendre ou acheter une moto d’occasion peut la déposer, prendre un verre et écouter de la bonne musique en attendant ! Et éventuellement trouver acheteur ou vendeur ! La moto peut rester jusqu’au Samedi ! Motoland : # 48 bis, rue 480, 12307 Phnom Penh – Téléphone : 077 548 232 https://www.facebook.com/MotoLandCambodia/

  • Billard : La Cambodgienne Srong Pheavy médaillée aux Championnats du Monde

    Srong Pheavy, joueuse cambodgienne de billard, a remporté jeudi dernier une médaille de bronze lors de la huitième édition du Championnat du monde à Izmir, en Turquie. La Cambodgienne Srong Pheavy médaillée aux Championnats du Monde La Cambodgienne a disputé cinq matches. Elle a battu les candidates du Japon, d’Allemagne et du Danemark avant de l’emporter contre la Colombie. Elle a perdu en demi-finale face à l’athlète japonaise Orie Hida . La médaille d’or est revenue aux Pays-Bas avec Therse Klompenhouwer qui a battu Orie Hida en finale. La victoire de la jeune femme est une fierté pour le Cambodge alors que la Fédération de billard au Cambodge n’a que deux mois. En remportant la médaille de bronze, Pheavy recevra 16 000 dollars du gouvernement royal du Cambodge.

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