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Plume aux lecteurs : Fabrice Barbian, je me sens très bien au Cambodge

Fabrice Barbian bénéficie d’une longue expérience dans la presse. Journaliste, il a travaillé, pendant plus de 20 ans, pour différents magazines et journaux en France et au Luxembourg. Récemment expatrié au Cambodge, il collabore, entre autres, avec le magazine Cambodge Mag, depuis quelques semaines.

Fabrice Barbian, je me sens très bien au Cambodge

Fabrice Barbian, je me sens très bien au Cambodge


CM : Vivez-vous au Cambodge, depuis quand ?

Depuis le début de cette année, c’est donc tout récent. Cela fait quelques années que nous songions à nous installer en Asie mais nous avons préféré attendre que notre fille grandisse un peu. Elle a bientôt 4 ans et semble beaucoup se plaire ici, donc tout va bien.

CM : Comment êtes-vous arrivé au Cambodge ?

Nous avons visité le Royaume, il y a 5 ans, en touristes. Nous avions alors vu Phnom Penh, Siem Reap, Battambang et Sihanoukville qui a beaucoup changé depuis d’après ce que je peux lire ici et là. Nous avions apprécié le pays. C’est donc tout naturellement que nous avons choisi de nous y installer. Nous avons opté Siem Reap que nous aimons tout particulièrement mais nous pourrions rejoindre la capitale, dans les semaines à venir. C’est à l’étude.

CM : Quelle est votre activité professionnelle ?

J’ai longtemps travaillé dans la presse en tant que journaliste et rédacteur en chef. J’ai également écrit plusieurs livres. Depuis quelques années déjà, je travaille davantage comme copywriter car cela me permet de travailler à distance, dès lors que j’ai un accès à internet (qui fonctionne). Depuis mon arrivée au Cambodge, j’ai renoué avec le journalisme en collaborant à Cambodge Mag et j’y prends beaucoup de plaisir. De plus, j’apprends à mieux connaitre ce pays et ces habitants.

CM : Pour quelles raisons aimez-vous le Cambodge ?

Vaste question. Le coût de la vie, la météo même si je sais qu’elle n’est pas clémente tout au long de l’année, l’accueil des Cambodgiens, sont autant de points positifs qui me viennent spontanément à l’esprit. La cuisine aussi a pesé dans la balance, pour être sincère. Mais ce qui me séduit tout particulièrement, c’est une ambiance, une atmosphère. J’avoue être en panne de mots pour décrire les sentiments que cela m’inspire mais, pour résumer : je me sens très bien ici.

CM : Quels sont vos loisirs ?

Je suis relativement pris entre mes occupations professionnelles et ma famille. Mais suis toujours partant pour aller boire un verre ou un petit restaurant. J’aime le sport aussi. Mais j’avoue avoir du mal à m’y remettre pourtant la piscine et la salle de fitness sont à quelques mètres de notre appartement. Je n’ai aucune excuse.

CM : Que souhaitez-vous pour l’avenir du pays ?

Je souhaite, bien entendu, que le pays continue à se développer sur le plan économique et que cela profite à tous les Cambodgiens. Le Cambodge doit continuer à aller de l’avant même si j’imagine qu’il n’est pas simple de naviguer entre les tensions avec l’Europe et les rapprochements avec la Chine. Le gouvernement a également fait de gros efforts en faveur de l’éducation, là aussi, je souhaite que les décisions et les initiatives prises portent leurs fruits. Et puis, j’espère, sincèrement qu’un inventeur de génie va créer un casque réfrigérant, efficace, beau et pas cher, que les Cambodgiens, notamment les jeunes, s’empresseront de porter lorsqu’ils circulent en deux-roues.

CM : Une anecdote à raconter ?

Ce n’est pas vraiment une anecdote mais plutôt un clin d’œil du destin. Lorsque nous avons visité Phnom Penh, il y a 5 ans, nous nous sommes retrouvés, ma femme et moi, à plusieurs reprises dans la rue Pasteur. Le fruit du hasard. Mais à cette époque, nous vivions au Luxembourg, également dans une rue « Pasteur ». Nous nous étions alors dit que le ciel nous envoyait un signe que nous avons interprété comme précurseur d’une installation à venir. Cinq ans plus tard, nous sommes au Cambodge. Cela dit, si demain je me fais croquer le mollet par un chien bavant, je saurai que mes interprétations concernant Pasteur étaient, un tantinet, trop poétiques et surtout, superficielles.

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