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Ancre 1

Cambodge & COVID-19 : 431 nouveaux cas et 4 décès supplémentaires

Le Cambodge a enregistré ce matin 431 nouveaux cas positifs de coronavirus (COVID-19). Le total des cas confirmés atteint donc 7 444.

Selon le communiqué de presse du ministère de la Santé, les nouveaux cas comprennent deux étrangers : un Indonésien de 31 ans et une Chinoise de 20 ans, et 429 cas communautaires toujours liés à l’incident du 20 février. Parmi ces cas communautaires, on dénombre 428 Cambodgiens et une Vietnamienne. La capitale Phnom Penh compte le plus grand nombre d’infections (271), suivie de la province de Preah Sihanouk (133).

Nouveaux cas

31 cas de transmission locale se sont rétablis, portant le nombre total de guérisons à 2 555. Les nouveaux cas guéris sont 30 Cambodgiens et un Chinois. Ils ont été autorisés à sortir de l’hôpital après avoir été testés négatifs deux fois de suite. Aujourd’hui le ministère comptabilise 4 835 cas actifs et 49 décès liés au COVID-19.

Concernant les derniers décès, trois des victimes étaient soignées à Phnom Penh au moment de leur décès. Deux d’entre elles, respectivement âgées de 65 et 72 ans, ont été déclarées mortes à 7 h 20 et 16 h à l’hôpital de l’amitié khmer-soviétique. Une autre patiente, une Cambodgienne de 40 ans, est décédée hier à 13 h 10 au centre de santé Chak Angre. La dernière victime est une Cambodgienne de 48 ans originaire de Sihanoukville. Malgré les efforts des médecins, elle est décédée à 13 h 40.

Amendes

Hier, l’agence Kampuchéa Presse indiquait que toute personne qui enfreindrait intentionnellement les mesures administratives prises par la Municipalité de Phnom Penh pour « empêcher la propagation de la pandémie de COVID-19 et d’autres maladies contagieuses graves et dangereuses » se verrait infliger une amende de 2 millions de riels (500 dollars américains) à 5 millions de riels (1 250 dollars).

D’après cette décision de la Municipalité de Phnom Penh, les contrevenants disposent de 30 jours pour payer leurs amendes. S’ils ne le font pas, ils seront envoyés au tribunal. Si la violation des mesures administratives entraîne la transmission du COVID-19 à autrui ou nuit gravement à la santé publique, les contrevenants seront également condamnés à une peine de prison, précise la municipalité.

Avec C. Nika — AKP

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