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Presse : Vingt-sept ans après en avoir bénéficié, le Cambodge contribue au maintien de la paix de l’

Photo MINUSS/Sophie Lafrance L'officier Heang Sokl avec son collègue le capitaine Mon Sinang, membres d'une unité de police militaire cambodgienne déployée au sein de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS), procèdent à un contrôle de vitesse.

Photo MINUSS/Sophie Lafrance – L’officier Heang Sokl avec son collègue le capitaine Mon Sinang, membres d’une unité de police militaire cambodgienne déployée au sein de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS), procèdent à un contrôle de vitesse.


Sorti de plus de 20 ans de guerre grâce aux efforts d’une opération de l’ONU, le Cambodge contribue désormais au maintien de la paix des Nations Unies dans plusieurs pays, notamment au Soudan du Sud.

C’est dans un ciel couvert que se réveille Juba. Dans la capitale du Soudan du Sud, le grondement du tonnerre annonce le début de pluies légères. Dans son uniforme de police militaire, le colonel Channy Vongvannak inspecte la station d’épuration d’eau installée dans la base des Casques bleus cambodgiens de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS).

« Chaque jour, grâce à notre station d’épuration, nous produisons environ 10.000 litres d’eau potable propre », explique le colonel Vongvannak qui commande la police militaire de la force cambodgienne de la MINUSS. Ses troupes produisent de l’eau potable pour leur usage quotidien. Cette eau propre est également mise à la disposition de tout le personnel de la mission onusienne.

Fournir une eau propre à l’ensemble du personnel de l’ONU au Soudan du Sud n’est pas de la responsabilité du contingent cambodgien de la MINUSS. Mais cette action illustre l’approche coopérative et collégiale du Cambodge envers le maintien de la paix. Une approche qui est née d’un lien historique récent entre le pays d’Asie du Sud-Est et les Nations Unies.

« Le Cambodge a reçu des troupes de maintien de la paix et ​​nous estimons que nous devons contribuer de la même manière que les autres pays l’ont fait lorsqu’ils travaillaient pour la mission des Nations Unies chez nous », se souvient le colonel Vongvannak. « Nous comprenons donc lorsque les pays et les peuples souffrent lors d’un conflit et qu’ils ont besoin d’aide ».

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