Les ambassades américaine, française et japonaise célébraient hier la Journée mondiale de la liberté de la presse et honoraient les journalistes disparus pendant la guerre civile.
Son Excellence W. Patrick Murphy a insisté sur le rôle fondamental de la liberté de la presse dans une société démocratique : « Proposer des reportages n’est ni facile ni sans danger et nous devons souligner la tache des journalistes du Cambodge et du monde entier qui travaillent dur chaque jour pour enquêter, analyser, questionner et transmettre. »
De son côté, Son Excellence Jacques Pellet a déclaré :
« Aujourd’hui, nous nous souvenons des journalistes qui ont perdu la vie en couvrant la guerre civile cambodgienne dans les années 1970. »
« La presse doit être protégée, sans cela, il n’y a pas de liberté de la presse. », a-t-il ajouté.
Pour l’ambassadeur Masahiro Mikami :
« La liberté de la presse est fondamentale pour toutes les sociétés libérales et démocratiques. »
Selon les ambassadeurs américain et français, les États-Unis et la France sont « engagés envers le peuple cambodgien et ses aspirations à l’indépendance, à la démocratie et à la prospérité. Un engagement dans lequel toutes les voix sont entendues et respectées ».
Rithy - AKP
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