top of page

Résultats de recherche

8020 éléments trouvés pour «  »

  • En Images & Phnom Penh : Soirée entreprise au Peninsula

    Vendredi dernier, le directeur du Peninsula Hotel and residence, Jérémie Clément, avait invité clients, amis et fournisseurs à une soirée destinée à célébrer l’amitié, les bonnes relations et l’entraide. Une belle et sympathique soirée au cours de laquelle les participants ont pu (re) découvrir la vue panoramique exceptionnelle proposée par le bar en terrasse et de déguster cocktails, bières et petits fours concoctés par le cuisinier maison. En fin de soirée, un tirage au sort a permis à quelques chanceux de gagner des séjours au sein de l’établissement. Rappelons que le Peninsula est situé de l'autre coté du pont japonais, à environ 10 minutes en voiture du centre ville. Cet hôtel 4 étoiles propose 85 chambres dotées de toutes les commodités, d’un service de spa, d’un bar et d’un restaurant situés sur la même terrasse que la piscine qui permet de se prélasser tout en admirant l’une des plus belles vues de la capitale. Voir toutes les photographies ici...

  • Cambodge & Mode : Ahsora World dévoile une gamme colorée et inspirée pour le Nouvel An khmer

    À l’approche du Nouvel An khmer, une nouvelle ligne de chemises a été lancée pour célébrer la riche mosaïque de la culture cambodgienne, avec un mélange d’images emblématiques et de mode contemporaine. L’un des modèles les plus marquants représente la splendeur intemporelle du temple d’Angkor Vat à l’équinoxe. La silhouette du temple emblématique sur fond de lever de soleil spectaculaire symbolise l’héritage durable du Cambodge. La créativité ne s’arrête pas là. Les chemises ornées d’images de Kouprey blanc en bleu, rouge et noir arborent une pléthore de symboles identifiables, de la majestueuse tortue royale à la vibrante fleur de Rumduol, l’emblème national du Cambodge. Derrière ces dessins inspirés se cache un groupe de jeunes visionnaires d’Ahsora World, dont la passion pour la préservation de l’identité khmère transparaît à chaque point de couture. Né de la fierté nationale Leur parcours a commencé lors de l’organisation par le Cambodge des Jeux d’Asie du Sud-Est (SEA) et des Para Games, où ils ont conçu des maillots destinés à soutenir l’équipe du Cambodge lors de cet événement historique. Ils ont ensuite créé des chemises à motifs khmers, avant de commencer à incorporer des symboles de l’identité cambodgienne dans une nouvelle gamme de « shorts hawaïens » à l’approche des célébrations du Nouvel An khmer. Tay Theara Rithyrack, directeur des opérations d’Ahsora World, partage sa vision : « Notre objectif est de créer un style khmer pour les jeunes d’aujourd’hui ». Leurs efforts ont été largement soutenus par les utilisateurs des médias sociaux, ce qui témoigne peut-être d’une demande croissante pour une mode originale qui célèbre aussi l’héritage cambodgien. La création de ces chemises n’a pas été facile. Il a fallu importer des tissus extensibles et employer des techniques de couture méticuleuses pour donner vie aux modèles. « Sur les huit chemises, le modèle Equinox est le plus difficile à réaliser, car l’image sur la chemise peut être un peu inclinée, en particulier à la boutonnière », explique Rithyrack. Ce groupe de jeunes gens fiers de leur identité khmère a rêvé de fabriquer ces chemises il y a de nombreuses années, dans l’attente du moment où les Cambodgiens célébreraient le Nouvel An khmer dans des vêtements conçus et fabriqués ici même, dans le Royaume. Les créations sont désormais en stock ou en cours de pré-impression et de couture. Les précommandes de ces chemises uniques sont au prix de 19,99 dollars, tandis qu’elles seront vendues au prix de 22,50 dollars une fois sur le marché. Redonner à la communauté Ahsora World se distingue non seulement par son engagement à préserver l’identité khmère, mais aussi par sa volonté de soutenir la communauté locale. En s’associant à des artisans du district de Banteay Srei, dans la province de Siem Reap, pour fabriquer des emballages khmers traditionnels, Ahsora World offre non seulement à ces artisans une plateforme leur permettant de mettre en valeur leurs compétences, mais contribue également à la préservation du patrimoine culturel cambodgien. Cette collaboration permet non seulement de renforcer l’authenticité culturelle des produits Ahsora, mais aussi de soutenir les moyens de subsistance d’artisans qualifiés, favorisant ainsi l’autonomisation économique. Rithyrack explique qu’en plus d’être élégants, les produits de la marque mettent l’accent sur la qualité. Des tissus aux teintures, en passant par les boîtes en feuilles de palmier dans lesquelles les chemises sont livrées, tout respire la classe. « Bien que nous disions avoir créé ces chemises pour les jeunes Khmers élégants afin de célébrer le Nouvel An, elles conviennent à des personnes de tous âges et de toutes nationalités », ajoute-t-il. « Au début du mois d’avril, nous les emballerons dans des boîtes en feuilles de palmier faites à la main et les enverrons à nos clients », explique-t-il. Il souligne que chaque image ou dessin utilisé — qu’il s’agisse d’un temple, d’un animal, d’un gâteau de riz gluant traditionnel ou d’un autre symbole national — est entièrement le fruit du travail de l’équipe de conception interne. « Aucune de nos images n’est copiée sur quelqu’un d’autre. Nous avons pris les photos nous-mêmes et peint toutes nos œuvres », explique Rithyrack. Lorsque ces chemises arriveront dans les mains des clients, emballées dans des boîtes khmères traditionnelles, elles seront plus que de simples vêtements — elles sont des symboles de la fierté, de la tradition et de la résilience du Royaume. Elles portent l’histoire du Cambodge, invitant ceux qui les portent à se joindre aux célébrations d’une culture aussi vibrante et diversifiée que les motifs qui ornent leurs chemises. Page Facebook Avec notre partenaire The Post

  • Tourisme & Cambodge : Faire revenir les visiteurs japonais

    Lors d’une rencontre avec la Future Light Organisation du Japon concernant la promotion du tourisme et les affaires, le 26 mars 2024, le ministre en charge du secteur, S.E. Sok Soken, a souligné que le « tourisme constituait une passerelle pour les échanges culturels, les opportunités d’éducation et la promotion de partenariats entre les secteurs public et privé cambodgien et japonais ». Ses remarques font suite à des échanges avec une délégation de la Future Light Organisation au cours desquels les discussions ont porté sur les possibilités de coopération et la promotion de la destination Cambodge sur les marchés japonais. Les discussions ont notamment porté sur des séances d’information destinées à la délégation et aux étudiants japonais à propos des principaux programmes stratégiques et les évolutions récentes du tourisme cambodgien. Ceci dans le but de fournir des informations à des fins d’étude, de promotion et de partage avec les voyageurs japonais. « Le tourisme sert de passerelle pour les échanges culturels, éducatifs et entre les peuples, renforçant ainsi les partenariats entre les deux pays. J’invite également les Japonais à soutenir le Conseil de promotion et de commercialisation du tourisme au Cambodge », a déclaré S.E. Sok Soken. Ce dernier a également fait état d’un engagement mutuel entre les ministères et l’organisation visant à attirer davantage d’investissements japonais au Cambodge. Pour Thourn Sinan, président de la section cambodgienne de la Pacific Asia Travel Association (PATA), le Japon constitue l’un des principaux marchés pour le Cambodge. Il a souligné que les touristes japonais visitaient généralement la province de Siem Reap, mais qu’ils étaient bien moins nombreux à se rendre dans d’autres régions. Sinan a également observé que depuis la pandémie, l’afflux de touristes japonais a diminué et que leur nombre n’est pas aussi élevé que celui des autres visiteurs étrangers. « À ce jour, les touristes japonais ne sont pas revenus en grand nombre. Nous devrions chercher à savoir pourquoi et ce que nous avons fait jusqu’à présent pour attirer ce marché. Nous organisons de grandes expositions deux fois par an, mais nous manquons de moyens supplémentaires, contrairement aux pays voisins, qui font une plus grande promotion au Japon, c’est là que nous manquons à l’appel », a-t-il déclaré. Le Premier ministre Hun Manet a souligné le rôle important du secteur dans la société et l’économie nationale lors de la cérémonie d’ouverture du 8e Festival de la rivière à Siem Reap le 16 mars dernier. Le PM a déclaré que le tourisme créait des opportunités d’emploi, générait des revenus, stimulait les exportations, soutenait la croissance économique, augmentait le revenu national et jouait un rôle clé dans la préservation culturelle et la gestion responsable de l’environnement et des ressources naturelles. « Le Cambodge a enregistré plus de 5,45 millions de touristes étrangers en 2023, et nous espérons que le nombre de visiteurs étrangers au Cambodge reviendra aux niveaux d’avant la pandémie d’ici 2025 », affirmait-il, ajoutant : « Je reste optimiste quant au rôle du tourisme comme stimulant pour l’économie du pays, en créant des emplois et des revenus. Le secteur contribue de manière significative à la première phase de la stratégie pentagonale et demeure essentiel pour atteindre le statut de pays à revenu moyen supérieur d’ici 2030 et à revenu élevé d’ici 2050. » Selon le ministère, le Cambodge a accueilli plus de 5,45 millions de touristes étrangers en 2023, soit une augmentation de 139,5 % par rapport à 2022. Parmi eux, 1 866 231 ont voyagé par avion, 3 520 730 par voie terrestre et 66 270 par voie maritime. Le nombre de Cambodgiens voyageant à l’étranger a atteint 1 819 504, soit une augmentation de 152,3 %. Durant cette période, le pays a accueilli 1 820 460 Thaïlandais, 1 019 812 Vietnamiens, 547 798 Chinois, 372 285 Laotiens, 184 870 Américains, 170 171 Sud-Coréens, 127 178 Indonésiens, 106 625 Français, 96 973 Britanniques et 87 825 Malaisiens. Avec notre partenaire The Post

  • Croissance impressionnante des échanges dans la Zone économique spéciale de Sihanoukville

    La valeur des importations et des exportations passant par la Zone économique spéciale de Sihanoukville (ZES) au Cambodge s’est élevée à 628 millions de dollars américains au cours des deux premiers mois de 2024, soit une augmentation de 38,3 % en glissement annuel par rapport à la même période en 2023, indique un communiqué de la ZES. « Cela indique que cette zone économique est l’un des principaux catalyseurs du développement du Cambodge », souligne l’opérateur, ajoutant que la ZES continuait d’améliorer sa compétitivité industrielle en se concentrant sur l’attraction d’investissements dans des secteurs tels que les machines, les accessoires automobiles, les pneus et les matériaux photovoltaïques. Depuis le début de l’année 2024, la Zone économique spéciale de Sihanoukville a accueilli huit nouvelles entreprises, ce qui porte à 188 le nombre total de sociétés hébergées dans ce complexe. Initiée par des investisseurs chinois et cambodgiens en 2008, la ZES est un projet phare de l’initiative chinoise « la Ceinture et la Route ». En 2023, la valeur commerciale de toutes les usines et entreprises de la zone a atteint 3,36 milliards de dollars américains, soit une augmentation de 34,86 % par rapport à 2022, et représente 7,18 % du volume commercial total du pays (46,83 milliards de dollars américains). Située dans la province côtière de Preah Sihanouk, la ZES est la plus grande zone industrielle du pays en termes de taille et d’occupation. Selon les opérateurs, la ZES devrait accueillir jusqu’à 300 entreprises dans les années à venir, ce qui pourrait générer jusqu’à 100 000 emplois pour la population locale.

  • Économie & Monnaie : La microfinance dynamise la circulation du riel cambodgien

    Le secteur de la microfinance apparaît aujourd’hui comme une force transformatrice dans l’économie nationale, se faisant le champion d’une poussée impressionnante dans l’adoption et l’utilisation de la monnaie cambodgienne en 2023. Un communiqué de l’Association Cambodgienne de la Microfinance rapporte que 25 % de ses prêts et 16 % de ses dépôts sont à présent libellés en riels. Le solde total des prêts en riels a atteint le chiffre sans précédent de 5,56 trillions de KHR. En outre, le volume des dépôts en riel dans les institutions de dépôt de la microfinance a atteint 1,52 trillion, indiquant un changement notable dans les habitudes d’épargne du public en faveur de la monnaie locale. « Ces chiffres témoignent d’une confiance croissante dans la monnaie nationale, dépassant largement les repères précédemment fixés par les organismes de réglementation », indique l’association. Sous la direction de la Banque Nationale du Cambodge (BNC), en collaboration avec l’Association Cambodgienne de la Microfinance et d’autres acteurs du secteur, des efforts considérables ont été déployés pour élargir la compréhension et l’adhésion du public au Riel. Les initiatives axées sur l’amélioration de la culture financière, la promotion de l’adoption des transactions numériques en riels et la mise en évidence des avantages d’un système monétaire local vigoureux ont été cruciales. Ces efforts ont ouvert la voie à la mise en place d’un environnement financier plus inclusif et plus durable à l’échelle nationale. Mme Dith Nita, présidente de l’association, souligne l’importance stratégique de ces initiatives : « L’approche globale adoptée par nos membres en 2023 a été conçue pour renforcer le rôle du riel dans nos transactions financières et pour approfondir la relation de notre communauté avec notre monnaie nationale. Cet effort est crucial pour créer un écosystème financier inclusif et résilient », dit-elle. « L’influence des prêts de la microfinance sur l’économie cambodgienne a été significative, touchant divers secteurs tels que les ménages, le commerce, l’agriculture et autres. », ajoute-t-elle. « Nos interventions ciblées dans ces secteurs ont non seulement propulsé l’activité économique, mais aussi souligné le rôle essentiel du secteur de la microfinance dans le soutien des ambitions de développement du Cambodge », précise Mme Dith. Selon l’association, la croissance remarquable des transactions via le système de paiement cambodgien Bakong, avec une multiplication par 3,4 des transactions en riels, dépassant largement celles en dollars américains, souligne une année de succès sans précédent pour la monnaie nationale. « Ce bond en avant symbolise un effort concerté pour consolider la position du Riel khmer en tant que moyen d’échange privilégié, comblant le fossé entre le commerce numérique et le commerce traditionnel. C’est une indication claire du parcours du Cambodge vers l’autosuffisance économique et la durabilité », souligne l’association. Le Cambodge compte 59 banques commerciales, neuf banques spécialisées et 87 institutions de microfinance à travers le pays, avec 16,5 millions de comptes de dépôt et 3,8 millions de comptes de crédit.

  • Phnom Penh : Le Musée SOSORO s'enrichit d'une prestigieuse donation d'un tableau de Nhek Dim

    Le Musée Preah Srey Içanavarman de l'économie et de la monnaie (SOSORO) a l'honneur d'annoncer la remise d'une pièce importante de l'histoire de l'art cambodgien. Cet événement, qui s’est déroulé le 25 mars dans les locaux du musée à Phnom Penh, a marqué la donation officielle d’un rare tableau de paysage des années 1960 du célèbre artiste cambodgien Nhek Dim, gracieusement offert au musée par la famille de l’ancien diplomate australien Robert Merrillees. Cette peinture, acquise à la fin des années 1960 par Robert Merrillees et son épouse Helen lors de leur séjour au Cambodge, présente une scène rurale cambodgienne sous un angle moderniste, reflétant la vision artistique unique de Nhek Dim. Après avoir gracieusement entrepris des travaux de restauration, la famille Merrillees a décidé d’offrir cette œuvre rare au musée SOSORO, assurant ainsi sa préservation et son accessibilité pour les générations futures. Le tableau sera ainsi intégré à la collection du Musée SOSORO. Le codirecteur du musée SOSORO, M. Blaise Kilian, a exprimé sa profonde gratitude pour ce don précieux : « Nous sommes reconnaissants à la famille Merrillees d’avoir choisi de faire don de cette peinture unique au musée SOSORO. L’œuvre de Nhek Dim est le reflet de la scène culturelle et artistique dynamique qui s’est épanouie dans les années qui ont suivi l’indépendance, avant d’être malheureusement anéantie par la guerre et le régime des Khmers rouges. » Cette donation est d’autant plus significative que le musée vient d’inaugurer la nouvelle partie de son exposition permanente consacrée à l’Indépendance, à la République khmère et au régime des Khmers rouges, avec des descriptions améliorées des changements socio-économiques qui se sont produits à l’époque. Mme Dolla S. Merrillees, fille de Robert Merrillees et représentante de la famille, a souligné à son tour l’importance culturelle et historique de cette donation : « Nous sommes ravis de rendre cette peinture du célèbre artiste cambodgien Nhek Dim au peuple cambodgien. Acquise par mes parents directement auprès de l’artiste à la fin des années 1960, elle a été un objet précieux, au même titre que les portraits qu’il a peints de notre famille. Étant donné que la plupart de ses œuvres ont été détruites par le régime de Pol Pot, nous espérons que cette peinture sera appréciée par les générations à venir ». À propos du musée SOSORO Créé par la Banque Nationale du Cambodge, le musée Preah Srey Içanavarman de l’économie et de la monnaie (communément appelé SOSORO) a pour mission d’informer le public sur l’histoire économique et l’évolution de la monnaie au Cambodge, grâce à un mélange d’artefacts anciens et de technologies modernes, dans une muséographie de pointe.

  • Phnom Penh : The SOSORO Museum to enrich collection with a prestigious donation of Nhek Dim’s painting

    The Preah Srey Içanavarman Museum of Economy and Money (SOSORO) is honored to announce the handover of a significant piece of Cambodian art history. This event, which took place on March 25 at the museum’s location in Phnom Penh, marked the official donation of a rare 1960’s landscape painting by celebrated Cambodian artist Nhek Dim, graciously bestowed upon the museum by the family of former Australian diplomat Robert Merrillees. This painting, acquired in the late 1960s by Robert Merrillees and his wife Helen during his tenure in Cambodia, showcases a rural Cambodian scene through a modernist lens, reflecting the unique artistic vision of Nhek Dim. After having graciously undertaken restoration efforts, the Merrillees family has decided to contribute this rare work to the SOSORO Museum, ensuring its preservation and accessibility for future generations. The painting will thereby be integrated in the SOSORO Museum’s collection. The Co-director of the SOSORO Museum, Mr. Blaise Kilian, expressed deep appreciation for this precious gift, stating: “We are grateful to the Merrillees family who has chosen to donate this unique painting to the SOSORO Museum. The work of Nhek Dim is a reflection of the vibrant cultural and artistic scene that flourished in the post-independence years, before being sadly annihilated by the war and during the Khmer Rouge regime. This donation is all the more meaningful as the museum has just inaugurated the revamped part of its permanent exhibition dedicated to the Independence, the Khmer Republic, and the Khmer Rouge regime, with enhanced descriptions of the socio-economic changes that occurred then.” Mrs. Dolla S. Merrillees, daughter of Robert Merrillees and representing the family, in turn highlighted the cultural and historical significance of this donation: “We’re thrilled to return this painting by renowned Cambodian artist Nhek Dim to the Cambodian people. Acquired by my parents directly from the artist in the late 1960s, it’s been a cherished possession alongside portraits he painted of our family. Given that most of his works were destroyed by the Pol Pot regime, we hope this painting will be enjoyed by generations to come.“ About the SOSORO Museum Established by the National Bank of Cambodia, the Preah Srey Içanavarman Museum of Economy and Money (commonly known as SOSORO) is dedicated to educating the public about the economic history and the evolution of money in Cambodia, through a blend of ancient artifacts and modern technologies, in a state-of-the-art museography.

  • Cambodia & Health: 6th International Conference on Aedes Albopictus, the tiger mosquito

    On 28 and 29 March 2024, at the Himawari Hotel Apartments, the Institut Pasteur du Cambodge will host the 6th International Conference on the Asian tiger mosquito Aedes albopictus. The conference will be held under the chairmanship of His Excellency Professor Chheang Ra, Cambodian Minister of Health, and His Excellency Mr Jacques Pellet, French Ambassador to Cambodia. Aedes albopictus, better known as the tiger mosquito, is one of the main vectors of Dengue fever, Chikungunya, Zika and at least 40 other major pathogens for public health. This mosquito is native to tropical and subtropical areas of South-East Asia. However, over the last few centuries, this species has spread to many countries through the transport of goods and travel. It is characterised by white stripes on its legs and body. This mosquito has become a significant pest in many communities because it lives close to humans and generally flies and feeds during the day, at dusk and dawn. The insect is called a tiger mosquito because of its striped appearance. Scientists at the Institut Pasteur and Université Paris Cité have shown that this mosquito could acquire the ability to transmit the chikungunya virus just as effectively at 20°C as at 28°C. The spread of the tiger mosquito in temperate climates could therefore lead to the spread of the chikungunya virus in these regions. The recent emergence of vector-borne diseases has marked a turning point in public health, as they now affect regions that are increasingly distant from endemic areas. The chikungunya virus was first reported in Europe in 2007 during an epidemic in Italy. The first native cases of chikungunya in the south of France were observed in the autumn, first in 2010, then in 2014 and 2017. The question of the effects of climate, and in particular temperature, on the transmission of pathogens by mosquitoes inevitably arises. In this study, scientists from the Institut Pasteur and Université Paris Cité looked at the transmission of the chikungunya virus by the tiger mosquito Aedes albopictus at an ambient temperature of 20°C or 28°C. The minimum temperature recorded during recent epidemics in continental Europe was 20°C. 28°C is the average temperature in tropical countries where the virus usually circulates. Using tiger mosquitoes taken from their natural habitat in Montpellier, the researchers analysed the adaptive molecular mechanisms induced by temperature. "We have shown that temperature profoundly modifies gene expression and the bacterial microbiome of mosquitoes", explains Anna-Bella Failloux, head of the Arbovirus and Insect Vectors Unit at the Institut Pasteur and the latest author of the study. The scientists observed different gene expression profiles at 20°C and 28°C in mosquitoes infected with the virus. In addition, the microbiome of mosquitoes infected with the chikungunya virus was modified at 28°C, with a significant decrease in Wolbachia bacteria correlated with an increase in Serratia bacteria contributing to viral transmission. Wolbachia bacteria inhibit viral replication, while Serratia bacteria promote infection of the mosquito's midgut by the virus. Temperature also influences the viral genome of infected mosquitoes. "The genetic diversity of the chikungunya virus has also been modified. All these changes lead to molecular modifications that result in efficient transmission of the pathogen", explains Anna-Bella Failloux. "In this study, the Aedes albopictus mosquito was able to transmit chikungunya just as effectively at 20°C as at 28°C, but through very different molecular processes. This is a real example of mutual adjustment between the virus and the vector, in this case the tiger mosquito, in response to environmental conditions", adds the scientist. The tiger mosquito is now present in temperate regions such as the American continent, temperate Asia and around 28 European countries, including France since 2004. In just a few decades, it has spread to four-fifths of France. "Chikungunya is therefore likely to continue to spread in areas where the tiger mosquito is established. In the absence of vaccines and treatments, it could become a public health problem in a greater number of countries with a temperate climate", concludes Anna-Bella-Failloux. At present, all the indigenous cases reported in mainland France come from imported cases and are not the result of an enzootic transmission cycle. In 2010, the imported cases involved two people who had just returned from Rajasthan, triggering a chain of transmission that led to the first indigenous cases reported in mainland France. This international conference, held every two years, will highlight research topics on the Aedes albopictus mosquito species, such as bionomics, vector competence, invasion and dispersal patterns and its role as a transition vector, as well as new vector control strategies and the impact of climate change. Emphasis will also be placed on research conducted in Asia. The conference also aims to strengthen scientific collaboration. The founders of this conference are Italian and Chinese collaborators from the Institut Pasteur du Cambodge, and meetings have been organised alternately between China (Guangzhou) and Italy (Pavia). Exceptionally, it was held in Montpellier, France, in 2022. This is the first time the event will be held in Cambodia, and the first time it will be organised by a team from the Pasteur network. Source : Institut Pasteur

  • Cambodge & Santé : 6e conférence internationale sur Aedes Albopictus, le moustique tigre

    Les 28 et 29 mars 2024, à l’Himawari Hotel Apartments, l’Institut Pasteur du Cambodge accueillera la 6e Conférence internationale sur le moustique tigre asiatique Aedes albopictus. Cette conférence se tiendra sous la présidence de Son Excellence le Professeur Chheang Ra, ministre de la Santé du Cambodge, et de Son Excellence Monsieur Jacques Pellet, Ambassadeur de France au Cambodge. Aedes albopictus, plus connu sous le nom de moustique tigre, est l’un des principaux vecteurs de la Dengue, du Chikungunya, du Zika et d’au moins 40 autres pathogènes majeurs pour la santé publique. Ce moustique est originaire des zones tropicales et subtropicales de l’Asie du Sud-Est. Toutefois, au cours des derniers siècles, cette espèce s’est répandue dans de nombreux pays par le biais du transport de marchandises et les voyages. Il se caractérise par des bandes blanches sur les pattes et le corps. Ce moustique est devenu un nuisible significatif dans de nombreuses communautés parce qu’il vit proche de l’homme et qu’il vole et se nourrit généralement pendant la journée, au crépuscule et à l’aube. L’insecte est appelé moustique tigre en raison de son apparence rayée. Des scientifiques de l’Institut Pasteur et de l’Université Paris Cité ont montré que ce moustique pouvait acquérir la capacité de transmettre le virus du chikungunya aussi efficacement à 20 °C qu’à 28 °C. La propagation du moustique tigre dans les climats tempérés pourrait donc entraîner la propagation du virus du chikungunya dans ces régions. L’émergence récente des maladies à transmission vectorielle a marqué un tournant en matière de santé publique, car elles touchent désormais des régions de plus en plus éloignées des zones d’endémie. Le virus du chikungunya a été signalé pour la première fois en Europe en 2007 lors d’une épidémie en Italie. Les premiers cas autochtones de chikungunya dans le sud de la France ont été observés à l’automne, d’abord en 2010, puis en 2014 et 2017. La question des effets du climat, et en particulier de la température, sur la transmission des pathogènes par les moustiques se pose inévitablement. Dans cette étude, des scientifiques de l’Institut Pasteur et de l’Université Paris Cité se sont intéressés à la transmission du virus du chikungunya par le moustique tigre Aedes albopictus à une température ambiante de 20 °C ou 28 °C. La température minimale enregistrée lors des récentes épidémies en Europe continentale était de 20 °C. 28 °C est la température moyenne dans les pays tropicaux où le virus circule habituellement. En utilisant des moustiques tigres prélevés dans leur habitat naturel à Montpellier, les chercheurs ont analysé les mécanismes moléculaires adaptatifs induits par la température. « Nous démontrons que la température modifie profondément l’expression des gènes et le microbiome bactérien des moustiques », explique Anna-Bella Failloux, responsable de l’unité Arbovirus et insectes vecteurs de l’Institut Pasteur et dernière auteure de l’étude. Les scientifiques ont observé des profils d’expression génique différents à 20 °C et 28 °C chez les moustiques infectés par le virus. De plus, le microbiome des moustiques infectés par le virus du chikungunya est modifié à 28 °C, avec une diminution significative des bactéries Wolbachia corrélée à une augmentation des bactéries Serratia contribuant à la transmission virale. La bactérie Wolbachia inhibe la réplication virale et la bactérie Serratia favorise l’infection de l’intestin moyen du moustique par le virus. La température influe également sur le génome viral des moustiques infectés. « La diversité génétique du virus du chikungunya a également été modifiée. Tous ces changements induisent des modifications moléculaires qui aboutissent à une transmission efficace du pathogène », explique Anna-Bella Failloux. « Dans cette étude, le moustique Aedes albopictus a pu transmettre le chikungunya aussi efficacement à 20 °C qu’à 28 °C, mais par des processus moléculaires très différents. Il s’agit d’un véritable exemple d’ajustement mutuel entre le virus et le vecteur, en l’occurrence le moustique tigre, en réponse aux conditions environnementales », ajoute le scientifique. Le moustique tigre est aujourd’hui présent dans les régions tempérées comme le continent américain, l’Asie tempérée et près de 28 pays européens, dont la France depuis 2004. En quelques décennies, il s’est répandu sur les quatre cinquièmes du territoire français. « Le chikungunya est donc susceptible de continuer à se propager dans les zones où le moustique tigre est implanté. En l’absence de vaccins et de traitements, il pourrait devenir un problème de santé publique dans un plus grand nombre de pays à climat tempéré », conclut Anna-Bella-Failloux. Actuellement, tous les cas autochtones rapportés en France métropolitaine proviennent de cas importés et ne sont pas issus d’un cycle de transmission enzootique. En 2010, les cas importés concernaient deux personnes qui venaient de rentrer du Rajasthan et ont déclenché une chaîne de transmission qui a conduit aux premiers cas autochtones recensés en France métropolitaine. Cette conférence internationale, organisée tous les deux ans, mettra en lumière des sujets de recherche sur l’espèce de moustique Aedes albopictus, tels que la bionomie, la compétence vectorielle, les modèles d’invasion et de dispersion et son rôle en tant que vecteur de transition, ainsi que les nouvelles stratégies de lutte antivectorielle et l’impact du changement climatique. L’accent sera également mis sur les recherches menées en Asie. La conférence vise aussi à renforcer la collaboration scientifique. Les fondateurs de cette conférence sont des collaborateurs italiens et chinois de l’Institut Pasteur du Cambodge, et les réunions ont été organisées alternativement entre la Chine (Guangzhou) et l’Italie (Pavie). Exceptionnellement, elle s’est tenue à Montpellier, en France, en 2022. C’est la première fois que l’événement se tiendra au Cambodge, et la première fois qu’il sera organisé par une équipe du réseau Pasteur. Source : Institut Pasteur

  • Phnom Penh : Signature d'un accord entre Ascott et l'OCIC pour le lancement de Somerset Diamond Bay Garden

    La société singapourienne The Ascott Limited (Ascott), filiale de CapitaLand Investment spécialisée dans l'hébergement, a conclu un accord de gestion avec Overseas Cambodian Investment Corporation (OCIC) pour la gestion du Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh à Koh Pich. Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh fait partie de Diamond Bay Garden, un complexe résidentiel de 37 étages surplombant le Mékong. La propriété, développée par OCIC, a reçu le prix du meilleur condominium en bord de mer pour l'Asie-Pacifique, décerné par PropertyGuru en 2023. Situé sur 10 des étages les plus élevés, Somerset Diamond Bay Garden est un ajout stratégique à Ascott, la marque Somerset étant la deuxième en importance dans le portefeuille mondial de la société d'hôtellerie. Cette alliance renforce l'engagement d'Ascott et de l'OCIC à améliorer la qualité des services d'accueil et le style de vie à Koh Pich, qui devient rapidement un quartier d'affaires central de Phnom Penh en pleine expansion. M. David Cumming, directeur général régional pour le Vietnam, le Cambodge et le Myanmar, Ascott, a souligné : "Nous sommes ravis de collaborer avec l'OCIC et nous prévoyons que le Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh deviendra une destination de choix pour les voyageurs d'affaires et de loisirs. Ce nouvel accord étend la présence d'Ascott au Cambodge à 6 établissements représentant plus de 1 200 unités. Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh propose une gamme variée d'hébergements, allant du studio à l'appartement de trois chambres, pour répondre aux demandes de courts et longs séjours dans la partie sud-est de Phnom Penh, qui connaît une croissance rapide. Nous espérons que cette collaboration innovante créera un précédent positif pour les projets futurs entre Ascott et l'OCIC." Koh Pich a été choisi pour sa situation très centrale et son ensemble croissant de quartiers commerciaux et résidentiels. L'opportunité d'offrir une vue fluviale inégalée sur le Mékong, le Tonlé Sap et le Tonlé Bassac permettra aux résidents de profiter pleinement d'un emplacement stratégique et des avantages des parcs, cafés et restaurants à venir, ainsi que de l'énergie de l'écosystème technologique et des start-ups en plein essor. Les 15 000 résidents qui travaillent ou vivent à Koh Pich ont commencé à utiliser pleinement la promenade fluviale récemment achevée pour courir ou faire de l'exercice tôt le matin, tandis que d'autres apprécient simplement la brise fraîche du bord de la rivière. Diamond Bay Garden est idéalement situé au cœur de Koh Pich, à cinq ou dix minutes en voiture de divers points d'intérêt tels que le monument de l'indépendance, le palais royal, le musée national, le Riverside, l'Aeon Mall ou Norea City. Cette commodité permet aux résidents de profiter de l'animation locale tout en jouissant d'une vue panoramique sur le Mékong et le Tonlé Sap, ainsi que sur la ligne d'horizon de la ville de Phnom Penh. Le sentiment d'appartenance aux différents quartiers de Koh Pich et l'amélioration continue des infrastructures ont contribué à l'ajout de nouveaux commerces et d'options de restauration au cours des 18 derniers mois. Cette croissance positionne les environs du Somerset Diamond Bay Garden comme un nouvel endroit où il fait bon vivre. Parmi les principaux invités qui ont assisté à l'événement, citons M. Andrew Tay de la Chambre de commerce de Singapour, M. Anthony Galliano de l'AmCham et Mme Ann Thida de PropNex. Lors de la cérémonie de signature entre l'OCIC et Ascott, Thierry Tea, vice-président du groupe OCIC, a déclaré : « Nous sommes ravis de collaborer avec un partenaire de gestion hôtelière de classe mondiale tel qu'Ascott. Nous voulons optimiser la valeur de Diamond Bay Garden pour nos clients actuels et futurs. » « Le Cambodge a démontré sa viabilité en tant que marché de l'investissement immobilier et en tant qu'économie dynamique, avec une croissance moyenne soutenue du PIB de 6 % au cours de la dernière décennie. En tant que promoteur historique, l'OCIC incorpore une certaine touche d'innovation grâce à des partenariats clés tels qu'Ascott avec la marque Somerset afin de se rapprocher des normes mondiales », ajoute-t-il. Une fois achevée, la propriété Diamond Bay Garden, financée par la Canadia Bank, comptera 37 étages et offrira des services tels que piscine, salle de sport, cafés, centre d'affaires, services de blanchisserie et aire de jeux pour enfants, ainsi que des installations de restauration sur le toit, améliorant ainsi le style de vie au sein du complexe. Avec une moyenne attendue de 8 % de rendement locatif garanti sur 10 ans, le projet Diamond Bay Garden offre des programmes d'investissement attractifs pour les clients du Cambodge et de la région Asie-Pacifique. Plus de photos de la cérémonie ici... À propos du groupe OCIC Le groupe OCIC est un conglomérat cambodgien diversifié. Il regroupe des sociétés et des entreprises affiliées à OCIC et comprend un portefeuille d'activités dans les domaines de la promotion immobilière, de l'immobilier, de l'éducation, de la santé, des aéroports, de la construction et de l'ingénierie, de la vente au détail, de l'hôtellerie, des médias et des loisirs. Les principaux projets d'OCIC comprennent l'aéroport international Techo, Koh Pich, Norea City, Chroy Changvar Satellite City et Olympia City. Le groupe OCIC est membre du groupe Canadia Integrated. www.ocic.com.kh.

  • Cambodia & Economy : Ascott signs with OCIC to launch Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh

    Singapore's The Ascott Limited (Ascott), the wholly-owned lodging business unit of CapitaLand Investment, has entered into a management agreement with Overseas Cambodian Investment Corporation (OCIC), for the management of Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh in Koh Pich. Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh is part of Diamond Bay Garden, an upcoming 37 floors high-rise residential development that overlooks the Mekong River. The property, developed by OCIC, has received the Award for Best Waterfront Condominium Asia-Pacific by PropertyGuru in 2023. Located on 10 of the higher floors, Somerset Diamond Bay Garden is a strategic addition to Ascott, with the Somerset brand being the second largest in the hospitality company’s global portfolio. This alliance reinforces the commitment of both Ascott and OCIC to improve the quality of hospitality services and lifestyle in Koh Pich, which is quickly becoming a growing Central Business District (CBD) of Phnom Penh. Mr. David Cumming, Regional General Manager of Vietnam, Cambodia & Myanmar, Ascott emphasised: "We are thrilled to collaborate with OCIC and anticipate Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh to become a premier destination for both business and leisure travellers. This new agreement expands Ascott’s presence in Cambodia to 6 properties spanning more than 1,200 units. Somerset Diamond Bay Garden Phnom Penh offers a diverse range of accommodations, from studios to 3-bedroom units, catering to short-stay and long-stay demands in the fast-growing Southeast part of Phnom Penh. We hope that this ground-breaking collaboration will set a positive precedent for future endeavours between Ascott and OCIC." Koh Pich has been selected for its very central location, and its growing mix of commercial and residential neighbourhoods. The opportunity to provide an unparalleled river view of the Mekong, the Tonle Sap and the Tonle Bassac will enable residents to fully enjoy a strategic location and the benefits of upcoming parks, cafes, F&B options as well as the energy from the rising tech and start-ups ecosystem. The 15,000 residents working or living in Koh Pich have started to fully utilize the recently completed Riverwalk for either early morning run or exercises while others are simply appreciating the fresh breeze from the riverside. Diamond Bay Garden is ideally situated at the heart of Koh Pich, accessible to various key landmarks such as the Independence Monument, the Royal Palace, the National Museum, the Riverside, Aeon Mall or Norea City all within a five-to-ten-minute drive. The convenience is enabling the residents to benefit from the local vibrancy while enjoying the panoramic views of the Mekong River and the Tonle Sap, as well as the Phnom Penh City’s skyline. The sense of community from the different neighbourhoods of Koh Pich and the continuous improvements of the infrastructures have contributed to the addition of new businesses and food options over the last 18 months. This growth positions the surroundings of Somerset Diamond Bay Garden as a new place to be. Some key guests witnessing the event included Mr. Andrew Tay from the Singapore Chamber of Commerce, Mr. Anthony Galliano from AmCham Cambodia and Ms. Ann Thida of PropNex. At the signing ceremony between OCIC and Ascott, Thierry Tea, Vice President of OCIC Group commented: “We are excited to collaborate with a world class hospitality management partner like Ascott. We want to optimise the value of Diamond Bay Garden for our existing and future customers.” Cambodia has shown its viability as a real estate investment market and as a dynamic economy with a sustained average GDP growth of 6% over the last decade. As a legacy developer, OCIC is incorporating some touch of innovation through key partnerships such as Ascott with the Somerset brand to get closer to global standards.” Tea added. When completed, the Diamond Bay Garden property, which is financed by Canadia Bank, will feature 37 floors with amenities including swimming pool, gym, cafes, business centre, laundry services and children’s playground as well as rooftop F&B facilities enhancing the lifestyle within the complex. With an expected average of 8% GRR (guaranteed rental return) within 10 years, the Diamond Bay Garden project is offering attractive investment programs for customers in Cambodia and within the Asia Pacific region. More photographies of the ceremony here... About OCIC Group OCIC Group is a Cambodian diversified conglomerate. OCIC Group is a group of companies and businesses that are affiliated to OCIC and includes a business portfolio in property development, real estate, education, healthcare, airport, construction & engineering, retail, hospitality to media and leisure. OCIC's major developments include the Techo International Airport, Koh Pich, Norea City, Chroy Changvar Satellite City and the Olympia City. OCIC Group is a member of Canadia Integrated Group. www.ocic.com.kh.

  • Cambodia & Tourism : Raffles Hotel Le Royal Awarded Prestigious 4-Star Rating from Forbes Travel Guide

    Raffles Hotel Le Royal, the luxury heritage hotel in the Cambodian capital, has earned a prestigious Four-Star rating from Forbes Travel Guide, whose designations are among the most highly sought after in the global luxury hospitality industry. “Raffles Hotel Le Royal has been Phnom Penh’s defining word in opulence ever since its doors first swung open in 1929,” the guide’s inspectors wrote in their review of the hotel. “It's still the go-to for Cambodian high society looking to host wedding banquets and celebratory balls, while the colonial wood-paneled Elephant Bar is a must for post-event drinks. This is also the best place in Phnom Penh to enjoy afternoon tea; the refined airs and immaculately attired staff practically transport you back in time,” it added. Raffles Hotel Le Royal was one of only two hotels in Phnom Penh to be recognized by Forbes Travel Guide last month. The Four-Star rating denotes “exceptional properties, offering high levels of service and quality of facility to match.” Forbes Travel Guide, originally launched in 1958 (then as Mobil Travel Guide), is the oldest travel guide in the United States and the creator of the original Five-Star rating system for hotels. The guide’s inspectors further praised Raffles Hotel Le Royal’s timeless elegance, saying, “While all accommodations [at the hotel] offer Old World luxury, the Landmark Rooms serve as a beautiful time capsule. The high-ceilinged rooms appear much as they did in 1929, including their enticing claw-foot baths.” They also gave their highest approval to Restaurant Le Royal, the hotel’s signature Khmer fine-dining venue, calling it “one of the best meals in town.” Raffles Hotel Le Royal features 175 rooms and suites that underwent a full refurbishment as part of a meticulous one-year restoration project in 2019. “There is no greater honour for a hotel than to be recognized by Forbes Travel Guide. Our staff understand we are all caretakers of an incredible legacy in the Grand Dame of Cambodian hospitality, and we look forward each day to providing warm and attentive service to all of our cherished guests,” said Raffles Hotel Le Royal’s General Manager Dennis de Groot. The Forbes Travel Guide designation adds to a growing list of awards for the historic property. In January, the UK-based Luxury Lifestyle Magazine named Raffles Hotel Le Royal one of the world’s best city hotels (No. 24 overall). Travel + Leisure named it one of the top city hotels in Cambodia last year. And it was voted the No. 1 hotel in Cambodia by readers of Condé Nast Traveler in its annual Readers’ Choice Awards the previous year. For more information on Raffles Hotel Le Royal, or to make a booking, please contact +855 23 981 888 or visit www.raffles.com/phnom-penh. ABOUT RAFFLES Raffles Hotels & Resorts boasts an illustrious history and some of the most prestigious hotel addresses worldwide. In 1887, Raffles Singapore set the standard for luxury hospitality, introducing the world to private butlers, the Singapore Sling and its enduring, legendary service. Today, Raffles continues this tradition in leading cities and lavish resort locales, enchanting travellers with meaningful experiences and service that is both gracious and intuitive. Connoisseurs of life choose Raffles, not merely for its aura of culture, beauty and gentility, but for the extraordinary way they feel when in residence with Raffles. Each Raffles, be it Paris, Istanbul, Dubai, Warsaw, Jakarta or the Seychelles, serves as a venerated oasis where travellers arrive as guests, leave as friends and return as family. Raffles is part of Accor, a world-leading hospitality group consisting of more than 5,100 properties and 10,000 food and beverage venues throughout 110 countries. raffles.com | all.accor.com | group.accor.com

Accueil   Économie   Tourisme     Culture     Destination     Gastronomie     Sport   Environnement 

bottom of page